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La première chose à faire est de lire attentivement les clauses du contrats.
La seconde de prendre contact avec le magasin pour essayer de trouver un terrain d'entente.
L'entrepreneur général est responsable vis à vis de vous et les soustraitants vis à vis de l'entrepreneur général.
Je connai plusieurs cas ou les soustraitants continuent à assumer le service après-vente même si l'entrepreneur général ou le promoteur est hors courses. Le tout est dans le contact personnel avec eux. Ne pas oublier qu'ils peut-être aussi perdus des plumes dans l'aventure.
Ne pas oublier qu'il y a toujours l'obligation d'entretien en " bon père de famille ".
Ne pas utiliser qq chose pendant un temps suffisant peut le déterriorer/ ex. un robinet, un WC, une serrure, une porte, fenêtre etc...
Si vous avez encore de bon contact avec votre premier locataire, vous pouvez lui demander son accord sur une description de l'état dans lequel il a recu les lieux à l'origine . Cela ne vaudra pas un état des lieux mais peut faire pencher la justice en votre faveur si cela vient en plus d'autres présomptions.
En conclusion , même avec la famille, les amis etc... il faut toujours suivre la bonne procédure. J'avais un professeur qui disait : dans un contrat il faut prévoir l'imprévisible ou, à défaut, définir la manière de régler ce problème.
Bon Week end
ho !! moi aussi je suis parti dans 1 heure ! la baie de Somme, les poissons, huitres etc... Hum le bon air !!
loin des problèmes immobiliers et ...
Et celui d'un fonctionnaire demandant à un expert immobilier ses grilles d'évaluation ainsi que si possible les points de comparaison.

Un syndic peut toujours mettre à l'ordre du jour quoique ce soit en rapport avec la copropriété et l'AG peut revenir sur des décisions acquisent précédemment. Un point peut également être ajouté à l'ordre du jour sur demande d'une partie des copropriétaires ( voir la loi et l'acte de base).
Si l'on veut éviter de revenir sur une décision de l'AG, il faut fixer un délai au syndic pour la faire exécuter.
Difficile de dire plus en absence de détail.
Bon Week-end.
Merci à tous pour les informations même si celles-ci recoupent quasi entièrement les miennes.
Pour le cas de Luc , je suis d'accord avec sa position.
Mais comme le disait Grmff, je pensai évidemment à une situation particulière.
Les répartitions de charges dans une copropriété ont fait l'objet de plusieurs modifications votées en AG, à la majorité requise, pendant plus de 20 ans mais jamais reprises dans un acte notarié.
Un nouveau propriétaire d'appartement, en possession de l'acte de base initial et du règlement général de copropriété initial, conteste la grille de répartition actuelle et demande le retour à la grille initiale. Il demande également que les décomptes soient refaits sur cette même base et ce pour les 2 années écoulées, soit depuis son achat. Il est demandeur de cela depuis le premier décompte de charge qu'il a reçu.
Il est évident que la copropriété aurait du régulariser la situation mais, comme indiqué par d'autres intervenants, les modifications font très rarement l'objet d'un acte notarié.
Quelqu'un aurait-il vécu une situation pareille et quelle en a été le dénouement?
Merci à tous.
Dans de nombreuses copropriétés, les répartitions de charges ont fait l'objet d'ajustement ou de modification souvent dus à des status initiaux mal concus.
Toute modification de l'acte de base ou du règlement général de copropriété doit faire l'objet d'un vote en AG, avec mention précise à l'ordre du jour et majorité qualifiée. Ces modifications doivent également faire l'objet d'un acte notarié et, là est ma question, il y a-t-il des cas vécus de modifications sans actes et quelles en ont été les suites?
merci de faire part de votre vécu.
Si le gyproc est récent, c'est peut-être une présomption que le propriétaire était au courant et à voulu camoufler le problème.
Ce n'est certainement pas le gyproc qui pouvait tenir la maison debout mais le fait d'avoir placé du gyproc au lieu de refaire le plafonnage est peutêtr un signe de cache-misère comme on dit.
Quant à entamer des travaux avant l'acte, hum, hum, bonjour les risques.
Danc ce cas ci par contre ,c'est peut-être un avantage d'avoir découvert le problème avant car il vaut peut-être mieux perdre son acompte que de se retrouver avec une telle maison sur les bras.
Une idée à creuser: faire repasser l'expert de la banque, obtenir un refus de PH et, si clause de réserve dans le compromis, annuler la vente.
Kaplan
2 maximes me viennent à l'esprit:
"faites ce que je dis, pas ce que je fais. " que mes enfants me rappele souvent ;
et
"C'est toujours le cordonnier le plus mal chaussé."
Malgré cela j'essaie de respecter les procédures ou les choix que je fais.
D'autre part, comme me l'a dit un ami, cavalier émérite et instructeur professionnel équestre de haut niveau : " on a toujours à apprendre et je prend encore des cours !"
seul l'imbécile sait tout.
Bon WE
Jappy
Les participants à ce forum vous aideront certainement à trouver les réponses à toutes vos questions mais je me permet de vous conseiller quand même l'achat d'un petit livre de droit relatif à la location tel celui du syndicat des propriétaires et de consacrer un peu de temps à sa lecture. Petit bémol , pour les cas déliquats, ne pas hésiter à relire, demander l'avis d'un avocat ou des participants à ce forum.
Pour l'augmentation de loyer, je conseille, avant l'action en justice, de proposer à chaque locataire une révision amiable de son loyer. Comme on dit " un mauvais arrangement vaut mieux qu'un bon proces ".
Kaplan,
Parfois le prix de vente est interressant parceque le rendement est faible bien qu'améliorable. Et dans ce cas c'est le vendeur qui aurait surtout du faire appel à un expert.
ouai, si l'on veut, mais... prudence
Même avis que Pim avec en plus ceci:
Sans fonds personnels, if ne faut pas oublier qu'un PH se rembourse dès le début, qu'une telle transformation peut prendre entre 6 et 12 mois, que des retards et des suppléments ont souvent lieu, qu'après la construction il faut encore trouver des locataires et que pendant tout ce temps, if faut continuer à payer les mensualités du PH.
Sans parler de la rentabilité du projet ?
Prudence ... Mais cela vaut peutêtre la peine d'investir quelques centaines d'euros dans l'étude cérieuse du projet.
Autre alternative, vendre la grange ou trouver un accord avec un entrepreneur ou un promoteur qui se chargerait des travaux et vous laisserait 1,2 ou3 appartements.
Attention aux valeurs moyennes des biens commerciaux !
Une même rue peut avoir une partie très commerçante avec des loyers et des valeurs de vente élevés, et une partie fort délaissée.
Le taux de rentabilité est également fort variable.
D'accord avec Pim, l'appel à un expert. Et même un expert éprouve parfois des difficultés à évaluer certains biens !!!
Angel,
Le remplacement d'un revêtement de sol est à charge du propriétaire, sauf dégâts provoqués par le locataire, et il faut en principe déduire un vétusté proportionelle à l'age du revêtement et à son espérance de vie.
On peut toutefois dans un bail mettre à charge du locataire certaines obligations du propriétaire mais il faut être précis, ... et prudent avec de telles clauses.
La durée de vie d'revêtement de sol dépend de sa qualité, de son usage, de son support, etc...
Merci pour l'info à Grmf et Nathalie.
Je vais demander par écrit à l'administration du cadastre la ventillation de l'RC d'un immeuble mixte.
Cette information n'était pas obtenable il y a +- 12 ans.
Quant au revenu cadastral plus élevé pour un rez commercial, c'est la généralité effectivement, mais je connai 2 cas pour lesquels ce RC était inférieur à celui des étages, cas très particuliers évidemment. C'est pourquoi je suggérai de prendre également en compte les loyers.
D'autre part, utiliser les superficies, ce n'est pas nécéssairement calculer proportionnelement, on peut aussi pondérer les diverses superficies. Le 6éme étage sans ascenseur et sous combles n'a pas la même valeur qu'un 1er étage !
1000 merci
Sauf cas particulier, le revenu cadastral, base de calcul du précompte immobilier, est constitué d'un seul montant par immeuble, qu'il soit uniquement résidentiel ou mixte.
Le mieux est de prévoir dans le bail le % à charge du locataire ( commercial, bien sur) et de réajuster le montant chaque année à la réception de l'extrait de role.
Le calcul de répartition se fait usuellement sur base des superficies et des loyers, mais c'est surtout une question de négociation avec le candidat locataire.
En faire une question de principe ? thats the question?
Je serai tenté de vous conseiller de ne pas vous braquer sur le problème de l'état des lieux de sortie ou du moins de prendre vous même en charges les honoraires de votre expert, dans lequel vous avez confiance, l'indemnité de 3 mois étant la pour vous aider à supporter ce cout.
La récupération des charges réelles ne pose en général aucun problème en justice de paix, mais si votre locataire est un petit peu intelligent ou correctement conseillé, il n'ira pas jusqu'à la justice.
Et si vous devez aller quand même en justice, réclamez tout ce que vous pouvez, le juge se charge en général de limiter la responsabilité du locataire.
Tenez nous au courant !
Situation bien compréhensible et à laquelle je suis particulièrement sensible. Chez le boulanger, on paie son pain avant de sortir et même avant de le manger et chez le médecin on paie sa consultation avant d'être guéri!!!
Personnellement, je demande de plus en plus le paiement des honoraires sur place et c'est généralement très bien perçu par les parties. Avant cela je devais supporter une quirielle de retards de paiements, des interventions d'huissiers, des jugements à n'en plus finir et cela pour des montants généralement inférieur à 300€.
D'accord avec PIM sur la façon de faire avancer le schmilblick.