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https://www.lecho.be/monargent/analyse/ … 36806.html
"La pénurie de syndics sur le marché immobilier belge rend la tâche ardue aux copropriétaires au moment de trouver un acteur fiable, honnête et rigoureux."
https://www.lalibre.be/economie/immo/20 … PIYYSFVLM/
Une nouvelle plateforme wallonne centralise certificateurs, auditeurs et responsables PEB agréés afin d'aider les particuliers à accéder plus facilement aux experts de la rénovation énergétique.
PEB Connect, la première plateforme de mise en relation entre particuliers et professionnels agréés de la Performance Énergétique des Bâtiments (PEB), a été officiellement lancée mardi. La plateforme couvre l'ensemble du territoire wallon et vise à faciliter l'accès à des certificateurs PEB, auditeurs logement ou responsables PEB agréés.
La neutralité carbone fixée par l'Union européenne à l'horizon 2050 impose une rénovation massive du parc immobilier existant. Aujourd'hui, près de 50% des logements wallons disposent d'un certificat PEB, dont 46% sont classés F ou G, et à peine 1% atteignent le label A. Pour atteindre les objectifs européens, il faudrait engager plus de 125 rénovations énergétiques profondes chaque jour d'ici 2050, selon les chiffres communiqués par PEB Connect.
La plateforme, incubée au VentureLab de l'Université de Liège, centralise trois types d'experts: les certificateurs PEB pour les ventes et locations, les auditeurs logement pour l'accès aux primes à la rénovation, et les responsables PEB pour les chantiers de construction ou de rénovation lourde.
L'accès est gratuit pour les particuliers, qui peuvent comparer les offres. Les professionnels, dont plus de 100 sont déjà partenaires, sont agréés par le SPW Energie et évalués par les utilisateurs via un système d'avis certifiés, "une première" dans le secteur de la PEB en Wallonie d'après PEB Connect.
Quand vous arrêtera-t-on ?
Cela ne tardera pas...

Les restaurants payent le guide Michelin pour obtenir leurs étoiles ???
En réponse à mon message initial de 2004
De + en + fort, le GB.
qu'en pensez-vous finalement ?
Depuis 2023, Ben Shimadsu a dû avoir le temps de la réflexion...
L'inscription du syndic en application de l'AR du 15 mars 2017 est une obligation légale qui poursuit deux objectifs :
1° Que l'Etat ( puisse connaitre la liste des immeubles aux mains d'un syndic X afin d'enquêter si nécessaire
2° Et pour ceci, par exemple :
https://expert.taxwin.be/fr/tw_juri/doc … 6-af-63-fr
"qui poursuit deux objectifs" supposés
Bonjour à vous,
Le propriétaire de mon appartement a décidé de vendre mon logement via une agence immobilière. Cette agence m'a envoyé un premier recommandé pour me signaler mon droit de préférence, mais ils ont oublié de mettre le numéro de boite. Comme j'habite dans un immeuble avec 200 personnes, ce recommandé ne m'est jamais parvenu.
Entre temps nous avons échangé par sms avec l'agence à qui j'ai bien signalé mon intérêt pour la vente, jusqu'à les inviter à me rencontrer pour en discuter.
L'agence n'a pas répondu à ce message et à envoyé un second recommandé car ils avaient diminué le prix. Ils ont envoyé ce second recommandé deux jours après que je leur signale qu'ils étaient sensé m'envoyer un second recommandé, et 1 ou deux jours avant la signature du compromis de vente.
Finalement lorsqu'ils m'aprennent que le compromis est signé, ils me disent avoir envoyé les deux recommandés, mais je n'ai reçu aucun des deux recommandés, puisque dans le second recommandé il y a une toute petite erreur, en effet au lieu du numero de boite 1011, ils ont rajouté un point et écrit 101.1, ce qui a du poser problème vu qu'il existe effectivement une boite 101 qui n'est pas la mienne, j'imagine que le facteur s'est alors trompé de boite.
L'agence me dit qu'ils pensent que c'est la poste qui est responsable et que eux ont tout envoyé dans les règles, que c'est essentiellement le nom sur le recommandé qui compte et que le facteur était sensé mettre le recommandé au bon nom.
Pourriez-vous m'éclairer sur cette situation et me dire si j'ai perdu mon droit de préférence ou si je peux encore contester le compromis avec toutes les chances de réussite ?
Bienvenue sur notre forum
Voici ce qu'indique Perplexity, avec les réserves d'usage:
Vous êtes dans une situation où le propriétaire devait vous notifier par recommandé votre droit de préférence avant de vendre le logement, conformément à la législation bruxelloise. La loi impose que cette notification soit faite par lettre recommandée avec accusé de réception, adressée correctement à votre nom et boîte. Toute erreur d’adresse ou de boîte qui empêche la réception par le locataire peut entraîner des conséquences graves pour le propriétaire et l’agence, car la notification ne vous est alors pas légalement parvenue.[1][2][3]
### **Vos droits et les obligations du propriétaire/agence**
- **La notification doit être correcte** : Elle doit indiquer le bon nom, la bonne boîte, et être adressée par recommandé. Toute erreur matérielle (mauvais numéro de boîte) qui empêche effectivement la réception du pli par le locataire peut être considérée comme un manquement à la procédure légale.[3][1]
- **L’importance de la réception** : La loi retient la date de réception, pas d’envoi. Si le locataire ne reçoit pas le recommandé, il n’est pas réputé avoir été informé et le délai de réponse ne court pas.[2][3]
- **Responsabilité de l’agence** : L’agent immobilier ou le notaire doivent vérifier et garantir que la notification a été correctement faite. Une négligence peut engager leur responsabilité.[1][3]
### **Conséquences d’une notification non reçue ou mal adressée**
- **Sanction** : Si votre droit de préférence n’a pas été respecté, et que vous n’avez pas pu exercer ce droit parce que la notification était erronée et donc non reçue, vous disposez d’un an pour saisir la justice afin de demander l’annulation de la vente.[4][5][1]
- **Action de subrogation** : Vous pouvez demander à être subrogé dans les droits de l’acquéreur : acheter le bien aux mêmes conditions que l’acheteur, en réglant le prix et les frais.[4][1]
- **Obligation de preuve** : Il appartient à l’agence ou au vendeur de prouver que la notification a été valablement faite et effectivement reçue par vous. Sans preuve de réception (par exemple, l’accusé de réception signé par vous ou remis dans la bonne boîte), leur argument est affaibli.
### **Position de la Poste et de l’Agence**
L’agence qui vous affirme que "c’est la faute du facteur" et que seul le nom importe se trompe juridiquement. Même si le nom est correct, le numéro de boîte erroné dans un immeuble de grande taille peut entraîner la non-réception de l’avis. Le respect de la procédure légale exige une notification parfaitement adressée.
### **Possibilités de contestation**
- **Vous pouvez contester la vente** : Si vous n’avez pas reçu les recommandés à cause d’erreurs matérielles sur l’adresse et la boîte, le droit de préférence n’a pas été respecté.
- **Votre démarche** : Adressez une mise en demeure au propriétaire/à l’agence, puis saisissez le juge compétent pour demander la subrogation ou l’annulation du compromis, dans un délai d’un an après la signature de la vente.[5][6][1]
- **Chances de succès** : Dans votre cas, les chances sont réelles puisque la procédure n’a manifestement pas été correctement respectée (aucune réception due à l’erreur sur le numéro de boîte, et aucun accusé de réception signé ou preuve de remise valable).
### **Conclusion**
Vous **n’avez probablement pas perdu votre droit de préférence**. Vous pouvez contester le compromis de vente, à condition d’agir rapidement (délai d’un an) et de réunir les preuves de la non-réception des notifications (erreurs d’adresse, échanges SMS prouvant votre intérêt, absence d’accusé de réception réel). Consultez un avocat ou une association de défense des locataires pour engager la procédure.[5][3][1]
[1](https://www.lexgo.be/fr/actualites-et-a … bruxellois)
[2](https://www.pim.be/commentaires-sur-le- … bruxelles/)
[3](https://www.ipi.be/kb/la-profession/bai … -bruxelles)
[4](https://be.brussels/fr/logement/achat-v … -locataire)
[5](https://contigo.immo/droit-preference-l … reemption/)
[6](https://www.jeminforme.be/que-faire-en- … prietaire/)
[7](https://www.droitbelge.be/news_detail.asp?id=1147)
[8](https://blog.trior.be/nouveau-droit-de- … -bruxelles)
[9](https://www.yago.be/fr/assurance-habita … -bruxelles)
[10](https://www.stradalex.com/fr/sl_src_pub … at_262.204)

https://www.lecho.be/monargent/news/imm … 36238.html
La Wallonie a adopté, en mars 2023, son "Plan air climat énergie" (PACE) fixant un calendrier précis pour atteindre certains niveaux de performance énergétique pour le logement résidentiel. Concrètement, à partir de 2026, certains propriétaires (bailleurs ou occupants) auraient dû entamer des travaux de rénovation pour améliorer le PEB de leur immeuble dans un délai imparti.
Mais il n'en sera finalement rien. "Le calendrier qui figurait dans le PACE a fait l'objet d'une prise d'acte en 2023. Ce n’était toutefois qu’une ambition: aucune mesure d’exécution n’a été adoptée lors de la précédente législature", explique le cabinet de la ministre wallonne du Climat, Cécile Neven (MR).
Aucune valeur légale
Le calendrier n’a donc, en l'état, aucune valeur légale. "Nous travaillons actuellement à la transposition de la directive européenne PEB. C’est dans ce cadre que le calendrier devra être confirmé, ajusté ou réévalué", précise encore la ministre. "À ce stade, aucune obligation nouvelle n’entre en vigueur au 1er janvier 2026."
Le précédent ministre, Philippe Henry (Ecolo), avait fixé les jalons suivants pour tout changement de propriétaire occupant (achat/vente):
À partir du 01/07/2026, obligation d’atteindre le niveau D dans les cinq ans;
À partir du 01/07/2031, obligation d’atteindre le niveau C dans les cinq ans;
À partir du 01/07/2036, obligation d’atteindre le niveau B dans les cinq ans;
À partir du 01/07/2041, obligation d’atteindre le niveau A dans les cinq ans.
Reste donc à savoir si le prochain calendrier sera plus ou moins contraignant que le précédent."
Le nombre d’amendes infligées aux personnes qui ne déclarent pas à temps l’efficacité énergétique de leur rénovation a fortement augmenté. Le gouvernement flamand a déjà perçu 1,1 million d’euros d’amendes.
Le nombre d’amendes infligées aux personnes qui ne déclarent pas à temps l’efficacité énergétique de leur rénovation a fortement augmenté en Flandre. Le gouvernement flamand a déjà perçu 1,1 million d’euros d’amendes pour ces infractions au cours des trois premiers trimestres de 2025. Ces amendes concernent en particulier les rénovations énergétiques des bâtiments qui doivent respecter l’obligation d’obtenir un certain label énergétique (minimum D) dans un délai de cinq ans après l’achat, sous peine de sanctions financières lourdes pouvant aller de 500 à 200 000 euros selon la situation. Cette obligation de rénovation vise à améliorer la performance énergétique des habitations et réduire les émissions de CO2 en Flandre.
Les mesures renforcées comprennent aussi un contrôle plus strict et un suivi actif des obligations de rénovation, avec des amendes qui ont augmenté notablement cette année. Le gouvernement flamand met la priorité sur les logements avec de mauvais scores énergétiques pour rendre le parc immobilier plus durable
Pour éviter les amendes liées à la rénovation énergétique en Flandre, voici les principales mesures à respecter :
- Si vous achetez un bâtiment (maison ou appartement) classé avec un certificat PEB de label E ou F, vous devez obligatoirement effectuer des travaux de rénovation pour atteindre au moins le label D dans les 5 ans suivant la date d’achat. Ce délai est impératif sous peine d’amendes dont le montant peut varier de 500 à 200 000 euros selon la gravité du manquement.
- Il faut réaliser les travaux nécessaires pour améliorer la performance énergétique : isolation (toit, murs, sol), installation de systèmes énergétiques efficaces (chauffage, refroidissement, panneaux solaires, pompe à chaleur, etc.).
- Obtenir et conserver un certificat PEB valide après rénovation pour prouver que la performance énergétique a bien été améliorée conformément aux exigences.
- Bénéficier des primes et aides disponibles en Flandre pour financer ces travaux, ce qui peut réduire significativement les coûts.
- Dans certains cas spécifiques (héritage, usufruit), l’obligation peut ne pas s’appliquer, mais cela nécessite vérification préalable.
En somme, la clé est d’agir rapidement après l’achat d’un bien énergivore, de planifier des rénovations appropriées, de faire appel à des professionnels qualifiés et de ne pas oublier de déclarer officiellement la rénovation avec un certificat PEB mis à jour. Cette démarche permet non seulement d’éviter les sanctions, mais aussi d’améliorer la valeur et le confort du bien immobilier.[1][2][3][4][5][6]
[1](https://www.batibouwplus.be/fr/obligati … es-amendes)
[2](https://vastgoedkaroline.be/fr/conseil-immobilier/l'obligation-de-renovation-en-flandre)
[3](https://kreston-vdn.be/fr/obligation-de … n-flandre/)
[4](https://www.sapabuildingsystem.com/fr-b … ovation-en)
[5](https://www.axa.be/fr/blog/habitation/p … on-flandre)
[6](https://www.certinergie.be/fr/2025/10/0 … rformants/)
[7](https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2025/11/18 … erformanc/)
[8](https://www.easy-primes.be/blog/fr-1/ca … belgique-9)
[9](https://www.certinergie.be/fr/faq/peb/l … -wallonie/)
[10](https://blog.immoweb.be/fr/acheter/lobl … n-flandre/)
[11](https://www.immopass.eu/blog/renovation … e-des-2023)
[12](https://www.isolteam.be/fr/actualite/ex … enovations)
[13](https://batibouw.com/fr/articles/529/sc … en-flandre)
[14](https://www.immothekerfinotheker.be/fr/ … -logement/)
[15](https://gillescarnoy.be/2022/03/09/nouv … n-flandre/)
[16](https://www.smovin.app/fr-be/renovation … s-flandre/)
[17](https://www.ing.be/fr/private-banking/p … ccessorale)
[18](https://www.certinergie.be/fr/certifica … b-flandre/)
[19](https://www.vandersanden.com/fr-be/que- … renovation)
[20](https://www.ptb.be/programme/droit-la-renovation)
Bonjour
C'est quoi la garantie cautionnement? merci d'un éclairage.
Si 'on' part avec la caisse
Est-ce classique que d'imposer que la responsabilité financière tombe en grande partie sur les copropriétaires et qu'ils ne puissent agir en justice?
Le contrat d'assurance collective souscrite par l'IPI est téléchargeable ici
Réaction de Federia à l’émission #Investigation du 12 novembre
"L’émission #Investigation diffusée mercredi dernier sur la RTBF a évoqué des cas de détournement de fonds et de pratiques contraires à la déontologie dans le métier de syndic. Ces comportements isolés nuisent gravement à l’image de toute une profession.
Federia condamne avec la plus grande fermeté ces pratiques mais tient à rappeler qu’elles sont de l’ordre de l’exception et ne reflètent nullement la réalité du terrain.
Federia a pour mission de représenter, défendre, accompagner et former les professionnels du secteur. Nous mettons d’ailleurs un point d’honneur à soutenir la professionnalisation et l’éthique des métiers d’agents immobiliers à travers des formations continues, tant sur les aspects techniques que déontologiques et réglementaires.
Ensemble, nous devons défendre la profession et revaloriser le métier de syndic pour renforcer la confiance.
Quelques rappels utiles :
Ces comportements inacceptables sont des faits isolés. Il est important de ne pas faire d'amalgame entre individu et profession.
Des mécanismes existent pour déposer plainte ou signaler un comportement suspect : Porter plainte
Il est important de souligner la rigueur, la complexité et l’importance du métier de syndic, véritable pilier de la gestion collective et de la durabilité des immeubles. Vous trouverez notre brochure d’explication destinée aux copropriétaires sur https://votre-syndic.be/pour-les-coproprietaires
Federia réaffirme sa volonté de défendre une profession intègre, exigeante et tournée vers l’avenir. Ces événements rappellent l’importance de la transparence et de la confiance, valeurs qui fondent notre engagement collectif."
Le rdz-vs des proprios
Dans ce nouvel épisode, deux équipes s’affrontent.
Deux visions, deux régions… et un débat sans filtre.
Chacun vient défendre son terrain, avec ses forces, ses avantages… et ses limites.
? Bruxelles : abattement, forte demande locative, loyers élevés
? Wallonie : droits d’enregistrement plus bas, prix accessibles, primes régionales
Mais au-delà des idées reçues, le match est loin d’être joué : Fiscalité, PEB, moratoire, grille des loyers, urbanisme, Airbnb…
Nos experts passent tout au crible pour identifier où se cachent les vraies opportunités en 2025.
?️Dans ce nouvel épisode :
Animateur : Davy Courteaux
Team Bruxelles :
• Ken Van Peteghem – Directeur We Invest Bruxelles
• Atilla Tufekci – Expert achat/revente
Team Wallonie :
• Ismael Boutgayout – Directeur Sky Immo
• Anthony Urbain – Conseiller financier

Comment bien réussir son état des lieux de sortie? L’importance d’une remise en peinture uniforme

Réponse sous réserves d'usage de Perplexity:
Votre ressenti est fondé : il s’agit bien d’une actualité en droit belge, puisque le **nouveau Livre 6 du Code civil sur la responsabilité extracontractuelle** est entré en vigueur au 1er janvier 2025. Voici l'essentiel à retenir pour votre situation en copropriété (ACP/syndic):
**1. Possibilité contractuelle d’exclure la responsabilité extracontractuelle**
- Le nouveau régime est « supplétif » : par **clause expresse**, il est possible d’exclure contractuellement la possibilité pour les parties d’agir sur la base de la responsabilité extracontractuelle plutôt que contractuelle.
- **Cependant** : ces clauses doivent être conformes à l’art. VI.83 du Code de droit économique, qui interdit les clauses créant un déséquilibre manifeste au détriment du consommateur (clause « léonine »).[1][2]
**2. Clauses de limitation/exclusion abusives ?**
- De telles limitations peuvent être considérées comme **inopposables** si elles dérogent aux règles d'ordre public, comme celles protégeant l’intégrité physique, les fautes lourdes/intentionnelles, etc.[3]
- La validité d’une clause dépendra de sa rédaction, du contexte, et du contrôle du juge qui appréciera si elle n’est pas abusive ou manifestement déséquilibrée.
- Concernant le plafonnement à la couverture d’assurance, ce plafonnement n’est valable que si la faute n’est pas intentionnelle ou d’une gravité telle que la loi l’interdit.
**3. Obligation/doute sur la gestion “configurée à 15 €/mois”**
- Il n’existe pas (à ce jour) d’obligation légale ou réglementaire imposant un “forfait de gestion configurée” au montant de 15 €/mois. Il s’agit sans doute d’une modalité contractuelle proposée par le syndic, qui n’a pas de portée générale.
**4. Vos craintes concernant les dérives**
- Ce type de clause a précisément fleuri face aux risques accrus pesant sur les syndics depuis la fin de la « quasi-immunité » ; mais leur validité réelle, surtout en cas de faute grave ou intentionnelle, reste soumise à l’appréciation des tribunaux et ne saurait aboutir à une irresponsabilité totale du syndic.
- Les clauses de limitation/exclusion sont autorisées, sauf hypothèses strictes et limites posées par la loi (faute lourde, fraude, atteinte à la personne).[3]
- L’assurance IPI (AXA) couvre typiquement les actes professionnels sauf fraude ou vol.
**5. Retour d'expérience / pratique**
- Ces clauses sont conseillées par certains assureurs/syndics, mais beaucoup de copropriétés et d’avocats immobiliers s’en méfient et préfèrent un équilibre contractuel.
- L’entretien d’un dialogue avec le syndic et la prise d’avis indépendants (avocat, association copropriétaire, etc.) sont recommandés avant approbation.
**Conclusion :**
- Il est possible contractuellement d’exclure la responsabilité extracontractuelle du syndic, mais sous contrôle du juge et dans les limites prévues par le Code (économie, sociétés, travail).[2][1][3]
- Ces clauses peuvent être écartées si elles créent manifestement un déséquilibre ou en cas de faute grave, intentionnelle ou contraire à l’ordre public.
- Rien n’exige une gestion forfaitaire à 15 €/mois.
- Prudence : privilégiez un contrôle sur le contenu du contrat/ROI, et ne signez pas sous la pression sans avis indépendant.
**Sources/Pour aller plus loin** :
- lexgo.be et centrius.be — analyse du nouveau Livre 6 et des limites des clauses d’exclusion[1][2]
- pia.be — conditions et limites contractuelles valables[3]
N’hésitez pas à partager le texte précis des clauses proposées pour un avis plus circonstancié.
[1](https://www.lexgo.be/en/news-and-articl … n-pratique)
[2](https://www.centrius.be/le-nouvel-artic … te-civile/)
[3](https://pia.be/fr/nouvelles/nouvelles-r … ter-de-202)
[4](https://www.droitbelge.be/news_detail.asp?id=1155)
[5](https://www.vandessel.be/fr/connaissanc … clin-doeil)
[6](https://www.grantthornton.be/fr/the-fie … rs-belges/)
[7](http://justice.belgium.be/fr/bwcc)
[8](https://www.antarius-avocats.com/action … du-syndic/)
[9](https://www.deloittelegal.be/lg/en/blog … loy-s.html)
[10](https://www.yago.be/fr/entreprise/refor … tractuelle)
C.THILMANY a écrit :Merci ;-) en effet, les moustiques me piquent... mais j'ai le cuir dur. Chaque forum a ses "haters" ou "trolls" comme on dit aujourd'hui.
Du village gaumais d'où je viens, il y avait l'idiot du village, un peu décérébré et vociférant des invectives à qui passait, juste pour se rassurer quant à sa propre existence peu signifiante. Modernité oblige, on les retrouve aujourd'hui sur les forums ; rien ne change...Je me concentrerai sur ce qui, je pense, intéresse les érudits du forums, à savoir l'échange d'expériences, le débat d'idées constructif où l'égo est mis de côté même en cas d'avis ou positions contraires.
Certains intervenants ont parfois un langage fleuri et des avis à l'emporte-pièce, sans avoir pour autant un avis complètement idiot.
D'autres ont un langage bien poli avec des interventions dans tous les sens, en déterrant des sujets d'il y a 20 ans. Je trouve ce comportement plus irrespectueux envers le forum, parce qu'il nous rappelle à quel point le temps à passé depuis le début du forum
![]()
Mon avis est que le forum de Pim n'a ni haters ni troll. Juste des intervenants réguliers, somme toute peu nombreux, avec chacun leur mode de fonctionnement. On est 16 a avoir plus de 1000 messages, dont certains qui ne posteront plus jamais...
Et pas mal de visiteurs qui postent une ou deux questions et s'en vont une fois la réponse obtenue.
C'est souvent une question de nature: outre les 16 intervenants à répétitions , il y a aussi de très nombreux visiteurs anonymes qui se félicitent, lorsqu'il interviennent finalement, de l'utilité du forum.
A l'instant où j'écris ceci, le compteur affiche "2 membres en ligne et 715 invités en ligne"...
https://www.rtbf.be/article/de-plus-en- … l-11631194
L’étude menée par Belfius Banque et Immoweb à partir des données récoltées auprès de leurs clients confirme une tendance : sur le marché immobilier, parmi ceux qui achètent leur première habitation, ceux qu’on appelle les « primo-acquéreurs », les acheteurs solos sont désormais majoritaires.
La population belge évolue. Les statistiques de Stabel montrent que la proportion de ménages composés d’une seule personne ne cesse d’augmenter. Elle est passée de 30% en 1995 à 36,3% en 2025. De son côté, la taille moyenne de ménages ne cesse de diminuer.
Cette évolution démographique se reflète directement dans les comportements d’achats immobiliers, en particulier ceux des primo-acquéreurs, ceux qui achètent un tel bien pour la première fois.
La banque Belfius a passé en revue les dossiers de crédit contractés par ses clients. En 2025, plus d’un dossier de crédit contracté sur deux (54%) concernant une personne seule, contre 46% pour les dossiers concernant un duo d’acheteurs.
Entre 2021 et 2023, les acheteurs solos et ceux en duo se partageaient le marché à parts égales, autour de 50/50. L'augmentation de la proportion de personnes seules qui achètent un premier bien immobilier est donc progressive, de l'ordre de quelques pourcents.
Acheteurs solos : surtout dans les grandes villes
Cette augmentation du nombre d’acheteurs solos primo-acquéreurs se marque surtout dans les grandes villes. C’est le cas à Bruxelles, mais aussi à Anvers et Liège, où les acheteurs seuls représentent près de 70% des acquéreurs.
Lorsqu'on observe les tendances en périphérie, on tourne davantage autour d’un dossier sur deux.
Si l’on regarde région par région, les acheteurs solos représentent 67% des primo-acquéreurs dans la Région Bruxelles-Capitale, 52% en Flandre et 52% en Wallonie.
Parmi ces acheteurs solos, la répartition hommes-femmes est quasi équilibrée. Avec 51,2% d’hommes et 48,8% de femmes.
Acheteurs solos : revenus plus élevés, mais budget plus restreint
Les statistiques de la banque Belfius le montrent, les primo-acquéreurs qui achètent seuls ont des budgets plus restreints que ceux qui achètent en duo. Chez Belfius, ces primo-acquéreurs solos, pourtant plus nombreux que ceux en duo, ne représentent que 43% du montant total des crédits octroyés par la banque, contre 57% pour les achats à deux.
Dans les faits, les acheteurs seuls affichent des revenus médians plus élevés (2500 euros) que ceux achetant à deux (2300 euros en moyenne par personne). Mais il n’est pas compliqué de comprendre qu’un ménage avec deux revenus de 2300 euros aura une capacité d’emprunt plus grande que celle d’un ménage qui ne dispose que d’un budget de 2500 euros. Cela se reflète sur le prix médian que déboursent les acheteurs. Les primo-acquéreurs seuls déboursent un prix médian de 240.000 euros. Les primo-acquéreurs en duo consacrent 338.000 euros à leur achat. Rappelons que le prix médian, différent du prix moyen, signifie qu’il y a autant d’acheteurs en dessous de ce prix que d’acheteurs au-dessus de ce prix.
Par conséquent, les primo-acquéreurs solos et en duo n’achètent pas le même type de biens immobilier. En moyenne, en Belgique, 48% des personnes seules qui achètent un bien immobilier pour la première fois achètent un appartement, alors que seulement 17% des duos primo-acquéreurs optent pour un appartement.
Quels types de biens achètent les primo-acquéreurs ?
De quel genre de biens immobiliers parle-t-on ? Selon les données de la banque Belfius et d’Immoweb, l’appartement type qui correspond aux biens acquis par les nouveaux acheteurs solos est un appartement, pour un prix médian de 240.000 euros, d’une superficie moyenne de 77 m2 et construit, majoritairement, dans un immeuble ancien datant de la période 1946-1970. En général, cet appartement dispose de deux chambres, d’une salle de bains et souvent d’une terrasse. Il est en général situé au 1er, 2e ou 3e étages d’un immeuble avec ascenseur.
La maison "type" que se payent les acheteurs en duo est, pour un prix médian de 338.000 euros, une maison unifamiliale d’une superficie moyenne de 162 m2, construite, elle aussi, entre 1946 et 1970. Il s’agit, en général, d’une maison dotée d’un parking privé et d’un jardin ou d’une terrasse. Elle est, en principe, équipée de trois chambres, d’une salle de bains et de deux toilettes.
Ces données confirment une tendance déjà mise en évidence dans le Baromètre des Notaires, en mai dernier et qui révélait, entre-autres, qu’en 2024, plus de la moitié des appartements en Belgique avaient été achetés par des personnes célibataires.
Notons que le type de bien acheté dépend non seulement du profil de l’acheteur, mais aussi de l’offre immobilière disponible. Ainsi, les appartements étant plus nombreux dans les grandes villes, les primo-acquéreurs s’y tournent davantage vers ce type de logements. En revanche, en périphérie, les maisons sont plus présentes et donc davantage achetées par les primo-acquéreurs.
A Bruxelles, par exemple, 85% des biens mis en vente, selon les statistiques d’Immoweb, sont des appartements. Cette proportion se retrouve aussi dans les comportements d’achats. 94% des acheteurs solos optent pour un appartement. Et 79% des acheteurs en duo font la même chose. On observe une tendance du même ordre à Anvers, par exemple.
Par contre, dans les villes wallonnes, l’offre de maisons à vendre est plus grande et influence les achats des primo-acquéreurs. A Charleroi, par exemple, près de 77% des annonces sur la plateforme Immoweb concernent des maisons. Par conséquent, la grande majorité des acheteurs, seuls (82%) ou à deux (91%) choisissent ce type de biens. On constate le même phénomène à Namur, où les appartements ne représentent qu’un tiers des biens proposés à l’achat sur la plateforme immobilière et où les maisons dominent les transactions.