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Le syndic propriétaire qui se fait rémunérer n'exerce pas comme agent immobilier. Il est juste propriétaire qui a le droit d'être syndic de sa copropriété...
Autant pour moi. Vous avez tout à fait raison.
Donc si l'assemblée décide à 3/4 des voix pour un an chaque année de répartir certaines tâches bien déterminées du syndic officiel vers le conseil de copropriété, le problème est résolu.
Non. La procédure que vous voulez mettre en place détourne l'esprit de la loi. Le législateur ne veut pas d'un retour en arrière et revenir au bon temps de la cogestion avec le conseil de copropriété.
Arrêté royal du 6 septembre 1993 protégeant le titre d'Agent Immobilier
Article 2 Nul ne peut exercer en qualité d'indépendant, à titre principal ou accessoire, la profession d'agent immobilier, ou porter le titre professionnel d'“agent immobilier agréé I.P.I.” ou d'“agent immobilier stagiaire”, s'il n'est inscrit au tableau des titulaires de la profession ou sur la liste des stagiaires tenus par l'Institut ou si, étant établi à l'étranger, il n'a obtenu l'autorisation d'exercer occasionnellement cette profession.
Les personnes inscrites au tableau des titulaires ou sur la liste des stagiaires en application
Qui dit indépendant complémentaire = affiliation à l'IPI !
Ni l'un, ni l'autre.
C'est la loi qui est impérative et qui fixe les majorités.
Qu'entendez vous par " des entretiens dans les parties communes"?
Passer un contrat avec une société de nettoyage = majorité absolue.
Réaliser des travaux (peintures,...) = 3/4
La question est de savoir avec qui est réalisé le contrat.
Si le contrat est réalisé au nom de l'ACP, vous êtes solidaire. Vous ne pouvez vous désolidariser de votre propre chef.
En cas de non payement d'une facture par l'ACP, le denier recours du fournisseur est de se retourner vers tout les copropriétaires conformément à l'article 577-5 §4 ( "l'exécution des décisions condamnant l'association des copropriétaires peut être poursuivie sur le patrimoine de chaque copropriétaire proportionnellement à sa quote-part dans les parties communes.")
Voici une matière nouvelle au niveau des ACP. Et je pense qu'il faut être prudent en la matière.
Voici ma position toute personnelle:
- L'ACP a la personnalité juridique. Le fait de créer un site ou blog officiel au nom de l'ACP, lui appartenant et géré par son représentant légal doit être prise en AG. Il peut aussi s'agir d'un service fournit par un syndic professionnel contractuellement prévu (rémunéré ou non).
- A noter que les information reprises sur le site ou le blog officiel de la copropriété pourraient engager la responsabilité de celle-ci. Quid si sur le blog se retrouve des injures entre occupants de type racial ou autre? Il faut donc s'il est complètement ouvert qu'il soit modéré (Hein PIM 
- Si chacun est en droit de s'exprimer, et donc d'ouvrir son propre blog ou groupe de discussion sur un réseau social, il faut éviter toute confusion possible pour l'internaute. Il doit savoir si l'information qu'il lit est officielle et émane de l'ACP ou s'il s'agit d'une initiative en dehors de l'ACP. D'où, il me semble que le nom de l'ACP soit réservé à son site, blog ou...officiel.
Bon surf sur le net....
Nous confirmons notre position.
Ce n'est pas une obligation.
Bien à vous
Actuellement ce n'est pas possible de manière précise.
L'IPI travaille sur une modification de sa structure où il existera un tableau courtier et un tableau syndic. Il sera alors possible de donner une information plus précise.
Oui et le contrôle du côté francophone suit ....
Ils ont demandés/proposés que soient appliqués
- ou la méthode décrite par un comptable/agent immobilier agréé dans un article de la revue PACCIOLI
Avant tout je vous invite à cliquer sur CE LIEN qui renvoi, en bas de page, vers la Revue PACCIOLI. Il est étonnant de voir que le CNIC référence un document que vous semblez critiquer.
En ce qui concerne le plan comptable proposé, les points principaux sont:
Premièrement, l'utilisation de la classe II et la réalisation d'amortissement en copropriété. Nous pensons que cela n'est pas compatible avec la législation.
Deuxièmement, nous sommes pour que les fonds de roulement et de réserve soient repris en classe I.
Voilà, j'ai répondu à votre question.
Ceci dit vu que les PIMaunotes ne disposent pas du projet de plan comptable, je ne débattrais pas plus avant du sujet sur le Forum.
Nous aurons l'occasion de nous revoir au Cabinet du Ministre et d'en discuter de vive voix.
Bien à vous,
Cher Saxo, Cher Luc,
Je suis content qu'il existe un dialogue constructif. Et l'ABSA a répondu à une invitation comme toute les autres associations.
La CNC a déjà réalisé des modifications sur base de remarques des intervenants précités. Et le dialogue continue.
En effet lors de cette réunion, les délégations de l’IPI, ainsi que ABSA, CIB et SNP, ont rejeté catégoriquement l’application de l’essentiel des normes comptables Belges (= européens = mondial).
Ce n'est pas exact.
Nous faisons écho auprès du cabinet du ministre et de la CNC de nos remarques sur le plan proposé au même titre que tout les intervenants.
Et hop, on passe à un autre sujet... Je ne vois pas très bien sur quoi repose cette affirmation.
Dans un Ipi-Mail, adressé aux membres il y a quelques jours, je lis au contraire ceci:
"Responsable de la gestion financière de la copropriété, le syndic est soumis à la nouvelle loi sur la copropriété, qui le charge de tenir les comptes suivant un plan comptable minimum normalisé. Les règles d’application doivent encore être précisées par un arrêté royal (art. 577-8 §4, 17° Code Civil). Dans le cadre de l’introduction de ce plan comptable minimum normalisé, la Commission des Normes Comptables s’est attaquée à la préparation de l’arrêté royal concerné. L’IPI est associé à ce travail et les premières réunions ont déjà eu lieu entre ses représentants et des associations de propriétaires."
Votre affirmation est-elle consécutive à votre analyse de ces premières réunions ?
Erik DECKERS Pim's webmaster (notamment...) Propriétés Immobilières s.a.
En complément à cette information, je voudrais juste vous informer que la commission des normes comptables (CNC) a rédigé un plan. Que sur invitation du Cabinet du Ministre de la justice, un certain nombre d'intervenants discute de celui-ci. Il s'agit du CNIC, du SNP, de la CIB, de l'UVS, de l'ABSA, de l'IPI et de la CNC.
Bien à vous,
ABSA a écrit : (...) et un accord sur celui-ci. C'est écrit où?
C'est pas repris dans la loi en tant que tel mais c'est bien la volonté du législateur.
Maître Riquier par exemple dit " Il est en tout cas essentiel que plusieurs personnes signent le procès-verbal, car c'est la seule manière de se ménager une preuve ultérieure de la conformité du texte dactylographié et fini qui sera transmis aux copropriétaires. En outre, c'est également la meilleur façon de s'assurer que le procès-verbal reflète objectivement la teneur des débats qui ont eu lieu."
Donc lorsque vous signer un pv, vous confirmez que son contenu est conforme à ce qui a été décidé par l'AG.
Pourquoi aussi non demander aux copropriétaires de signer?
La loi ne spécifie d'aucune manière comment doit se dérouler le vote. le vote à main levé est parfaitement licite et utiliser dans beaucoup de copropriété surtout les plus petites.
Votre problème ne se pose pas là. votre problème est la manière dont les votes ont été enregistrés et le problème de la preuve.
Le vote écrit permet un contrôle à posteriori. Ceci dit avec la nouvelle loi, la signature du pv à la fin de l'AG représente un contrôle du contenu et un accord sur celui-ci.
Bien à vous,
La réponse est sans équivoque oui.
Est-il juge et parti? Ni plus, ni moins qu'un copropriétaire qui serait syndic non-professionnel de l'immeuble.
Vu que dans votre exemple, nous pouvons discuter sur le statut de Mr et MMe X, prenons un exemple ou Y représente Y1 et Y2
Deux solutions pour moi:
Indiquer dans le pv que Y qui représente Y1 et Y2 a voté oui.
ou
Indiquer dans le pv que Y, Y1 et Y2 ont voté oui. ( J'ai opté pour cette manière de faire)
Bien à vous,
Soyonseffectivement pragmatique, le principal est d'identifier qui a vote et comment il a vote.
Je reprend l'ensemble des votes dans mes pv, oui, non et abstention
Bien a vous
La volonté du législateur est de retrouver dans le pv les noms des copropriétaires qui peuvent agir en justice par rapport à une décision d'AG.
Et donc, c'est clairement les noms de ceux qui ont voté pour une position contraire à celle prise par l'AG.
Par rapport à des travaux par exemple qui doivent être décidé à plus des 3/4 des voix:
Si j'ai 76% de oui et 24% de non, je dois reprendre les noms des 24% de vote "Non"
Si j'ai 74% de oui et 26% de non, je dois reprendre les noms des 74% de vote "oui".
D'accord aussi avec Grmff.
Le minimum en copropriété est la majorité absolue (50%+1 voix). Et ceci dit, c'est le cas depuis 1994 que la majorité simple n'existe plus en copropriété.
Il existe d'autres erreurs, imprécisions ou omissions dans le document évoqué.
Bien à vous,
Quid si le code déontologie ne dit rien.. Peut-on dès lors considérer que "tout ce qui n'est pas interdit est autorisé?"
Non. Les avocats ont du modifier leur code de déontologie pour pouvoir exercer les fonctions de syndic.
Actuellement l'IPI a programmé une série de formation sur la nouvelle législation pour ses membres.
Bien à vous,