forum Vous n'êtes pas identifié(e) : Inscription :: Identification | Recherche Forum
........... les sociétés de logement sociaux flamandes qui ont décidé de faire une liste noire des mauvais locataires à leur usage interne, mais commune à toutes les sociétés de logement sociaux...
Bonjour, depuis quand -environ/à votre connaissance- font-elles cela ?
Merci d'avoir relevé cette coquille.
Et quand on écrit le mot coquille, il est souhaitable de ne pas faire de coquille (par exemple, oublier la lettre 'q'). C'est juste pour détendre l'atmosphère...
Dans le film 'Analyze This', de Niro est un truand de la pire espèce, mais il est dépressif. Donc, il consulte un psychiatre. Dans le court extrait ci-joint, on le voit écoutant les explications du psy (le psy lui dit que son père était sans doute trop violent etc..). Et, à la fin, De Niro donne son avis sur les Grecs....
https://multiup.org/download/5511653eb9 … iro%5D.mp4
Sans doute, sans doute. Mais, il ne faut quand même pas être trop naïf (dans votre cas : faire semblant d'être naïf..
..). Car avec une petite quotité en plus, ils ont la majorité. Et faire ce qu'il faut, comme il faut, au-dessus ou au-dessous de la table, pour qu'un copropriétaire accepte d'être celui qui donnera les quotités en plus ce n'est quand même pas très difficile...
Dans les zones ayant subi des inondations majeures (essentiellement Liège et Namur) les cours auront lieu uniquement en immersion.
Paul_6 a écrit :Peu importe, on avait compris ! Ce sont les copropriétaires qui sont convoqués aux AG.
A quelle intervention réagissez-vous ?
Vous aviez compris.Que prévoit le texte du code civil ?
En tout état de cause, ce ne sont pas les copropriétaires qui sont convoqués lorsque le droit de propriété portant sur un lot privatif est divisé ou lorsque la propriété d'un lot est grevée d'un droit d'emphytéose , de superficie, d'usufruit, d'usage, d'usage .
etc...
En lisant le texte initial de NadineAvas je n'avais pas vu qu'il s'agissait de ce cas, assurément fort fréquent, auquel vous faites référence.
ça, ce sont les joies de la copropriété. Enjoy... vous écrivez : « chez nous la sous-location est interdite ». Il faut agir.
Peu importe, on avait compris ! Ce sont les copropriétaires qui sont convoqués aux AG.
Vous avez effectué le travail qu'il fallait: lire l'acte de base. Soyez bien convaincu que personne d'autre ne le lira aussi soigneusement que vous pouvez le faire. Vous avez demandé d'autres documents, en résumé : rien n'est clair.
La conclusion est simple : vous êtes face à une embrouille.
Vous vous voyez déjà avec un acte à modifier et une vente à annuler ? Vous imaginez la complexité ? Vous avez compris exactement la situation et il ne reste plus qu'à en tirer la conclusion : BARREZ-VOUS !!!
Tiens, je croyais qu'en justice de paix -pour les montants que vous citez- il n'y avait plus d'appel ? Uniquement le juge de paix puis cassation (bien éventuelle évidemment) ?non??
L'avocat examinera d'abord si la notion d'abus de droit s'applique à la situation vécue.
C'est vous qui avez employé en premier lieu "d'abord". Je l'ai repris.
Je vous laisse clôturer.
Paul_6 a écrit :Ça c'est une évidence, mais je comprends fort bien que vous précisiez. Je vois ainsi que vous savez (+PIM, +MarcoBrux) que la plupart des avocats n'examinent rien 'd'abord'.
L'avocat qui agirait ainsi est-il ce que vous appelez un "bon" avocat ?
C'est pourquoi d'une part j'ai écrit un bon avocat et d'autre part j'ai écrit « la plupart ».
Ça c'est une évidence, mais je comprends fort bien que vous précisiez. Je vois ainsi que vous savez (+PIM, +MarcoBrux) que la plupart des avocats n'examinent rien 'd'abord'.
Bonjour,
On vous a dit:
« Je vous réponds clairement que vous ne pouvez pas interdire à votre voisin de fumer sur sa terrasse. »
Un juge pourrait en décider autrement.
D'une manière très générale, votre voisin a le droit de fumer sur sa terrasse.
Ce qui ne veut pas dire qu'il peut abuser de son droit.
En effet, sur sa terrasse, il n'est pas seul au monde. Il est dans une copropriété, il a des voisins. Il doit les respecter. Vous avez essayé la négociation, la diplomatie, cela n'a pas marché.
Allez en justice de paix -avec l'aide d'un avocat bien sûr-, et faites valoir la notion « d'abus de droit ». Un bon avocat, un bon juge et vous aurez peut-être une bonne surprise.
Ben tiens. Un(e) copropriétaire trouve naturel de connaître précisément les coordonnées de son syndic avec nom et prénom, et dans vos critères de savoir-vivre il s'agit là d'un caprice de la part de ce CP.
Pour ce qui est du nombrilisme vous êtes toujours bien dans la projection.
Une dernière fois, ah bon? Et après, si ça ne vous convient pas, vous allez vous plaindre auprès du proviseur ?
Je ne vous suis pas et je le répéterai autant de fois que nécessaire.
La moindre des corrections, des politesses aurait été de la part du syndic d'envoyer un petit mail à tous les CP en leur expliquant les changements effectués.
Je ne suis pas dans le cadre des textes légaux, je suis dans le cadre du savoir-vivre. Notion qui manifestement vous échappe. Totalement.
Si un syndic ne respecte pas la loi ou son contrat, les cp peuvent en tirer les conclusions. Mais le syndic n'est pas le larbin au service des caprices de n'importe quel cp névrosé ou illuminé qui déciderait de lui imposer ses exigences.
Et voilà la nouvelle du siècle : un copropriétaire souhaite savoir précisément qui est son syndic et bien, selon vous, il s'agit d'un caprice de la part d'un CP névrosé et illuminé. Qui c'est qui dit des inepties ?
Bonjour à tous,
les faits:
notre syndic IPI, de l'acp 40 lots à Bruxelles, est une sprl.
Le gérant de cette sprl est notre syndic attitré. (cad notre contact et sa présence aux ag)
---
En consultant la BCE public, je remarque que ce gérant de cette sprl a démissionné avec effet au 30 juin/21.
sur le même document, Un nouveau gérant IPI est nommé depuis le 1er janvier 21 déjà, et dûment inscrit.
Personne n'a averti les cp ou cdc de cette démission et de la nomination d'un nouveau gérant.
En effet lorsque nous contactons le syndic c'est en général une employée qui intervient et jamais le syndic gérant, créateur de la sprl.Question:
Les cp et cdc auraient-ils du être averti de ce changement?
-/-
Tous les CP auraient dû être mis au courant. Simple question de correction. Et quels que soient les textes légaux que l'on pourrait invoquer.
Quoi qu'il en soit, le syndic semble remettre le portefeuille clients à un autre gestionnaire au sein de la société (sprl/srl ou autre, peu importe).
C'est son droit le plus absolu.
Si la gestion de l'acp s'en trouve affectée les cp auront toujours la possibilité en ag de ne plus reconduire le mandat du syndic.
Ah bon ? Son droit le plus absolu? Il n'y a pas beaucoup de 'droits absolus' savez-vous. Et donc finalement s'il y a des problèmes, tout va bien. On attend simplement la prochaine AG. Sous réserve que dans ce cas vous allez -de plus- défendre l'idée qu'elle aura lieu en 2022, de la manière la plus légale qui soit.
Évidemment, vous défendrez toujours les syndics.
Et rappeler aussi que le bien immobilier appartient aux copropriétaires et à personne d'autre. C'est leur investissement, ils ont des décisions à prendre, qu sont toutes importantes, et il serait bien malvenu de la part d'un syndic de leur dire qu'ils n'ont pas le droit de faire une AG ! LA réunion des CP c'est l'assemblée générale, et il faut qu'elle ait lieu.
Quels sont vos textes ?
Non seulement j'ai lu le chapitre 19 de la loi du 20/12/2020 mais également les travaux préparatoires de cette loi (en ce qui concerne le chapitre 19).
Tout ce que je veux rappeler c'est que les textes vont dans tous les sens ce qui, évidemment, facilite la tâche d'un syndic qui voudrait employer les textes comme il le souhaite pour postposer une AG à 2022.
Si maintenant vous m'affirmez que vous avez tout compris, à 100 %, tant mieux pour vous. Mais quand je relis le topic suivant (toutes les pages) :
https://forum.pim.be/topic-291405-assem … age-8.html
ce n'est pas l'impression que j'ai...