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et aussi de connaître le loyer. 23 mois et on dépasse probablement les 10.000 €. À ce niveau, l'indemnité de procédure s'élève à 1.320 €.
Je ne pense pas qu'il y ai une indemnité de procédure basée sur la convention (mais à valider par un spécialiste de ce forum.... ).
Il ne s'agit pas pour le Juge de trancher un litige mais d'acter une résiliation du bail et les conditions de cette résiliation.
La loi impose ce passage par le juge. Il ne serait pas logique de devoir payer une telle indemnité de procédure basée sur l'accord de résiliation.
Le litige, ce serait le non respect des conditions...
Question intéressante (car la logique n'est pas toujours de mise non plus....) qui demanderait une réponse documentée comme on sait en recevoir ici.... 
tout d'abord ils n'auront certainement jamais un RV chez le juge avant le 31 juillet !
ensuite oui ça peut se faire devant notaire aussi, c'est coûteux, mais de toutes façons c'est au loc à payer, donc
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et sinon non, sorry, souvent plusieurs possibilités sont prévues
soit le proprio exige d'aller au bout du bail ( ce qui en général ne se fait jamais )
soit il accorde la résiliation anticipée moyennant des conditions : autant de mois de préavis et autant de mois d'indemnités
soit on peut aussi envisager, fin du bail dès que le proprio a trouvé un autre loc qui lui convient ( mais ça c'est risqué pour le loc )
C'est bien ce que je dis : tout est question de négociations ! La loi n'exige rien et ne prévoit rien sauf que le locataire est tenu de payer le loyer jusqu'à la fin du bail.
(on oublie le choix de forcer le locataire a resté dans les lieux en y laissant des meubles & marchandises... je n'ai jamais vu ou entendu cela en pratique)
Il n'est plus question de préavis puisque le locataire à prévenu qu'il quittait le 31 juillet.
A moins de considérer que le préavis = le délai pour obtenir le rdv chez le juge ou le notaire mais ce n'est que du vocabulaire mais, en vrai, il s'agira d'une indemnité de rupture de contrat (ce qui est plus intéressant car non imposé chez le bailleur
)
Et (presque) tout est acceptable dans une négociation si les deux parties sont d'accord (en baux commerciaux)
Le locataire est "obligé" de vous demander de comparaître devant le JDP pour acter la fin d'un bail commercial. C'est la loi !
Cela peut aussi se faire devant Notaire mais c'est plus coûteux...
A part ce qui est prévu au bail (qui est prioritaire), vous pouvez demander une indemnité couvrant la durée restante du bail.
Le résultat n'est plus que de la négociation pour obtenir un accord à faire acter par le JDP.
Vous partez de 23 mois et vous voyez ce que vous propose le locataire pour trouver un juste compromis qui satisfait tout le monde.
Mettez aussi vos exigences sur l'état de la remise des lieux : propre, vide de tout, ....
Il y a d'autres solutions pour remettre son commerce que de vendre les parts sociales (ce qui freinent beaucoup les candidats car le rachat d'une société implique le rachat de tous ses problèmes connus, inconnus, en cours et à venir....)
Il est plus "simple" et plus rapide de céder le bail avec ou sans le fonds de commerce par exemple
Certainement pas l'agent qui n'est qu'un intermédiaire entre les deux parties.
Vous parlez d'un prolongement par rapport à quel délai : un délai pour passer l'acte moins de 4 mois après la signature du compromis ? ==> dans ce cas, il faut l'accord du vendeur et/ou de l'acheteur (suivant qui demande le délai ou qui est responsable du retard)
Ou un prolongement au delà des 4 mois entre le compromis et l'acte ? ==> dans ce cas, il faut l'accord du vendeur & acheteur + probablement payer les droits d'enregistrement à l'état via le notaire
et pour les dettes sociales, je crois qu'on sait vérifier sur le net, mais je sais plus comment ? mais je suis persuadé qu'on sait
Uniquement pour les dettes des entreprises du secteur de la construction dans le cadre de la solidarité du maître d'oeuvre.
Et il faut qu'il soit affilié à l'onss (donc avoir du personnel)
Pas pour les autres secteurs !
S'il n'a pas de dette, il n'est pas en état de faillite....
En plus, s'il exerce en nom propre, pas besoin de procédure de cessation d'activité et liquidation de la société.
Il lui suffit d'arrêter son activité : fermer son magasin. Il n'est même pas obligé de fermer tout de suite son compte TVA...
Par contre, la résiliation d'un bail commercial doit se faire devant un notaire....
S'il en a "juste marre", pourquoi s'embarquer dans des contraintes administratives et juridiques avec une faillite personnelle (c'est assez grave comme situation et les problèmes peuvent être multiples dans l'immédiat mais aussi dans le futur....) alors qu'un simple rendez-vous avec vous et un notaire peut mettre fin à tout en moins d'une heure....
Il vous reste juste à négocier une fin de bail au mieux de vos intérêts : possibilités de visites pour un nouveau locataire, remise en état des lieux, indemnité de fin de bail (qui pourrait être compensée par la vente du fonds de commerce et cela ne lui coûterait donc rien), ....
Votre solution 3 est la bonne sauf qu'on indique le 1/3 du RC (ni indexé, ni majoré).
Le pourcentage n'est probablement pas tout à fait juste mais cela ne devrait pas poser de problème dans ce type de dossier.
oui ils peuvent demander
et ils ne doivent pas tenir compte d'une option non écrite ! c'est leur job de trouver un acheteur et vous n'avez aucun document montrant votre volonté d'achat et son client ne lui donne aucune autre instruction que de poursuive sa mission !
vous n'avez pas répondu à la seule question : pourquoi ne faites vous pas une offre écrite avec condition suspensive ?
bizarre votre histoire et je comprends les doutes de l'agent (et probablement ceux de la vendeuse)
Contrat exclusif = il touchera sa commission de toutes façons (même si c'est vous vous êtes mis d'accord avec la proprio directement)
Pourquoi ne signez vous pas un compromis avec une condition suspensive d'accord de la banque ?
Encore plus simple : vous faites une offre au prix convenu mais en indiquant la condition suspensive de l'accord de la banque et la proprio signe pour accord sur votre offre.
La vente est faite et la vendeuse ne peut vendre à personne d'autre tant que vous ne signalez pas le refus de la banque....
Mais la commission sera due à l'agent (qui lui pourra arrêter de perdre son temps et de l'argent en recherche de candidats)
Jamais entendu parler d'une assurance "contenu" pour un garage (qu'il s'agisse d'un box ou d'un simple emplacement). NI d'une assurance RC locative pour un garage...
Pour moi dans tous les cas, c'est l'assurance de la copropriété qui intervient ou l'assurance RC voiture (si sa voiture prend feu) ou son assurance familiale ... (s'il fait des tâches d'huile sur votre revêtement de sol tout neuf...)
Dans le cadre d'un box, il peut y avoir plusieurs sources possibles de dégâts non couvert par l'assurance de l'immeuble pour un locataire : un box sert régulièrement à entreposer, dispose d'un point électrique (voir d'une prise électrique), parfois une arrivée d'eau....
Donc le feu provoqué par un appareil électrique, un produit chimique, un lave-linge,.... ne sera couvert que par une RC locative à mon avis.
Pour un emplacement de parking, c'est plus difficile à imaginer mais probablement pas tout à fait impossible.
La prudence voudrait donc que le propriétaire demande une RC locative pour son locataire de box et qu'il y réfléchisse pour un emplacement !
Dans un sens, tant mieux que ça ne serve à rien d'autre que faire mousser quelques politiques et occuper quelques fonctionnaires.
Avec une marge de +20% à -20%, cela donne une telle variabilité de 40% qui devrait permettre à la plupart des biens d'entrer dans les critères et donc fournir une réponse "acceptable" aux candidats locataires.
L'autre joujou sorti par le politique est beaucoup plus inquiétant pour les propriétaires & les fonds publics mais on en parle beaucoup moins... c'est peut-être pour cela que la grille est sortie en même temps, pour faire diversion grâce à un petit fichier excell....
Ce qui est certain , c'est que ce sera tout bénéfice pour lui ...fini les feuilles de papier , l'encre ...et l envoi .
Dorénavant c'est les CP qui devront imprimer ceux ci à leurs frais s'ils veulent une trace papier (bien nécessaire pour les discussions en AG).Cdlt
Combien de pages fait votre (vos) décompte(s) pour un an ? 10 ? 20 ? 30 ? et combien vous coûte l'impression de 100 pages ?
Je retiens que "les statuts d'une ACP devront mentionner comment la communication d’un document administratif (décompte annuel, inventaire annule, ...) sera faite aux membres de l'AG, aux copropriétaires sans droit de vote et aux résidents, tenant compte des prescrits du Code Civil".
Le code civil ne prévoit pas l'envoi par le syndic des décomptes aux copropriétaires par mail. L'article 2281, C.civil concerne la preuve de l'envoi notamment par mail de manière à le rendre opposable.
Est-ce que les statuts d'une ACP indiquent que les décomptes doivent être envoyés par voie postale sur papier blanc A4 uniquement en impression recto et bânissant les stencils bleus (un vieux souvenir scolaire....) qui ne résistent pas à l'exposition au soleil ?
Ceux que j'ai sous la main indique uniquement que "les comptes seront présentés à l'ag et devront avoir été communiqués un mois avant l'AG"
En proposant de les envoyer par mail, le syndic ne va pas à l'encontre de l'AB.
Et, dans le cas présenté ici, le syndic semble faire comme pratiquement tous les fournisseurs : ce sera par mail sauf si vous me les demandez par courrier (ou c'est ce qu'il devrait faire...).
En dehors de tous "rigorisme juridique" pour le plaisir, je trouve cela plutôt normal et acceptable comme procédure....
Un peu de dialogue courtois avec un syndic devrait suffire à ce qu'il envoi le décompte par courrier si c'est vraiment un blocage de le recevoir par mail....
L'Echo publie le fichier excell de la grille de références des loyers : http://monargent.lecho.be/immobilier/Pa … art#grille
Téléchargé et testé : pour mon bien, l'estimation me semble correct....
Pour une maison, il faut inscrire "Maison 4 façades" ou "Maison 2-3 façades"
Pour la commune, j'ai dû mettre "gembloux" plutôt que le nom du village
En tout cas, je vais me lancer dans la production en masse de jolies oeuvres d'art à base de capsule de Coca-Cola.
Voilà une réflexion qui ne pourra être comprise que par les plus anciens visiteurs du site et qui devrait inciter à découvrir la fonction "recherche" pour les autres.... ou ceux qui ont la mémoire défaillante....
C'était une idée très intéressante.... Vous l'avez testée ?
Bonjour,
je ne ferai aucun commentaire sur ce que je pense de cette loi et ce pcmn mal foutu.... sujet trop sensible ici
J'avais oublié cette absence de compte pour le fonds de réserve... Je ne me souviens plus pourquoi on a choisi le 160 ou si c'est une décision du programmeur qu'on a gardé.... Par rapport au plan comptable des sociétés BE, il y a une logique à utiliser ces comptes 160 qui sont des comptes de "provisions pour risques et charges" alors que les comptes 130 sont les bénéfices après clôture mis en réserve.
Quand j'ai acheté un appartement en France, j'ai aussi payé les charges au prorata temporis à la demande du syndic. le terme n'est peut-être pas le même mais c'est bien le principe qu'on m'a appliqué.
Par contre, pour ma part, ce n'est pas tout à fait cela que j'utilise pour la répartition entre ancien et nouveau propriétaire :
1. Pour des charges précises (exemple un débouchage, un dépannage, hono avocat, frais d'AG,...) : c'est la date de la facture (ou de la prestation) qui compte
2. Pour les charges couvrant une période (entretien, honoraires syndic, contrat entretien ascenseur, assurance, ...) : c'est un prorata par rapport à la date de mutation
Bonjour,
Merci PIM !!!
En effet, j'avais évidemment cet article 577.11 ; j'aurais pu regarder de plus près...
Pour les comptables, ça ne dérange personne la définition des fonds de roulement et de réserve de cet article ????
On entend par « fonds de roulement », la somme des avances faites par les copropriétaires, à titre de provision, pour couvrir les dépenses périodiques telles que les frais de chauffage et d’éclairage des parties communes, les frais de gérance et de conciergerie.
On entend par « fonds de réserve », la somme des apports de fonds périodiques destinés à faire face à des dépenses non périodiques, telles que celles occasionnées par le renouvellement du système de chauffage, la réparation ou le renouvellement d’un ascenseur ou la pose d’une nouvelle chape de toiture.Si on applique à la lettre, ça revient à rembourser le vendeur de toutes les provisions de l'année :-|
Quels sont les numéros de compte que vous utilisez pour déterminer ces montants ? En France c'est l'avance de trésorerie et les avances travaux mais en Belgique c'est beaucoup moins évident (je trouve)...Cordialement,
André
D'où vient cette définition ?
Pour ma part, je ferais les adaptations suivantes :
"On entend par « provision de fonds de roulement ».... " : je trouve qu'il doit y avoir une distinction de terme pour la provision pour charges ("provision de fonds roulement") et le fonds de roulement (qui est la somme "fixe" mise à disposition de l'ACP pour faire face aux charges en assurant une bonne couverture financière pour faire face, par exemple, aux provisions payées tardivement ou sous-évaluées ou insuffisante en début d'année ou ....)
"On entend par « fonds de réserve », la somme des apports de fonds périodiques destinés à faire face à des dépenses non périodiques de travaux de réparations ou rénovations prévus, prévisibles ou à prévoir, telles que..." La gestion et l'utilisation de ce fonds est décidé par l'AG.
Au sujet de votre interprétation :
- le fonds de roulement est à verser à l'acp par l'acquéreur et à rembourser par l'acp au vendeur après clôture de ses comptes avec l'acp
- les provisions de fonds de roulement versées par le vendeur seront déduites du décompte des charges arrêtés à la date prévue dans l'acte de mutation
- Les appels pour le fonds de réserve et les réserves constituées appartiennent à l'acp et ne font l'objet d'aucun décompte entre l'acp et le vendeur
Au niveau du plan comptable :
- Le fonds de roulement : le législateur n'a pas cru bon de lui donner un numéro de compte dans le PCMN. Pour ma part, j'utilise le compte 100000 mais certains intervenants de ce forum ne sont pas d'accord et préfère un compte 48 je crois
- Les provisions de fonds de roulement : compte 701000
- Les appels de fonds de réserve de l'exercice : compte 700000
- Les comptes de fonds de réserve cumulés à la clôture de l'exercice précédent : 160000 (avec éventuellement des subdivisions pour les fonds constitués avec des clés de répartitions différentes : générale, chauffage, ascenseurs, parking, Bloc A, Bloc B...)
grmff a écrit :D1791 a écrit :De mémoire (mais je peux me tromper), il faut que l'inoccupation soit au minimum de 90 jours.
Le monsieur au 0257/257.57 m'a bien précisé que c'était à calculer par jour. Avec 365 au dénominateur en 2015 et 366 en 2016 qui est une année bisextile.
Les 90 jours d'inoccupation, c'est pour obtenir la réduction du précompte immobilier.
Je ne saisis pas la subtilité dans votre réponse.
Que le monsieur ne vous l'aie pas dit, ça je vous crois sur parole.
La règle des 90 jours, c'est pour réduire le RC.
C'est le RC qui sert de base taxable (pour des locations en personne physique à des personnes physiques à des fins privées).
Et le précompte immobilier n'a rien à voir avec la déclaration fiscale.
L'information que vous avez communiquée dans votre premier post, c'était bien pour la base taxable de la déclaration fiscale.???
Pour ma part, j'ai compris la réflexion de Grmff comme étant un prorata général du RC par rapport à l'occupation. Par exemple : 335 jours loués / 366 jours x RC = RC imposé.
Donc, sans prendre en compte la règle des 90 jours d'inoccupation que le SPF aurait oublié de lui préciser....
Le monsieur du 0257/257.57 n'a pas parlé de période de 90 jours. Par contre, il a précisé que les annonces, Vlan ou Immoweb par exemple, et les mises en location par agence, étaient recevable comme justificatif du côté "non volontaire" de l'improductivité.
Extrait de la littérature barbare jointe avec les déclarations : http://finances.belgium.be/sites/defaul … s-2015.pdf
Page 19 : Improductivité :
Lorsqu’un immeuble bâti (non meublé) est resté totalement
inoccupé et totalement improductif de revenus pendant au
moins 90 jours en 2014, le R.C. peut être réduit
proportionnellement à la durée de l’improductivité
Je ne pense pas que cette règle ait été modifiée pour les revenus 2015....
Effectivement, les annonces peuvent être un élément de justifications du caractère involontaire.