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Je ne serais pas inquiet non plus.
Je viens de faire les consommation de chauffage d'un immeuble. En chauffage, on va de 80€ à 1800€ de consommation, avec une moyenne de 500€. Le premier en chauffait pas du tout (calo à zéro - 80€ de conso commune) et le second devait se balader torse nu et pieds nus à 25°C...
Je lis en tout cas ceci dans l'article de 7sur7.be:
Le SNPC propose de revoir cette grille, en y ajoutant les baux enregistrés depuis le 1e Janvier 2025. Pour M. Périlleux Sanchez, cela risque d’être contre-productif. “Il est possible qu’il y ait plus de baux enregistrés dans les tranches supérieures des loyers, donc là aussi, on risque d’être face à des données biaisées”, conclut-il.
Cela n'est-il pas une preuve que la grille ne tient pas compte de l'évolution du marché?
Je lis aussi ce commentaire, de la même source:
Lorsqu’on compare à des sources comme Immoweb ou Federia, nous sommes en effet en dessous. Mais il faut se rendre compte que sur Immoweb, il y a trois fois plus d’annonces dans les quartiers riches que dans les quartiers pauvres.
N'est-ce pas l'aveu que la grille ne tient pas compte correctement de la diversité des loyers et des situations?
A mon avis, cette grille ne tient pas la route. Ce serait même impossible de faire une grille cohérente. Par ailleurs, la grille ne tient pas compte de l'état d'entretien du bien et des communs. Deux biens "identiques" dans la même résidence auront des loyers très différents selon l'état de l'appartement. Deux biens similaires dans une même rue auront des loyers différents rien que par l'entretien ou 'aspect des communs, rien que parce qu'un propriétaire gère son immeuble alors que son voisin ne gère rien du tout...
Peut-on penser que le voisinage peut avoir un effet immédiat sur la valeur du bien, même pour deux biens identiques et voisins...
Votre situation n'est pas enviable (dû à son prétendu départ à l'étranger, il ment peut-être ?) : https://forum.pim.be/topic-280656-proce … age-1.html (un retour à ce sujet @grmff ?
)
Il n'y a jamais eu de retour parce que je n'ai jamais donné suite...
Faut dire, vous ressortez des message d'il y a 15 ans. Je n'avais pas autant d'expérience.
Je partage globalement l'avis de ID9...
- pas d'obligation de la part du locataire de faire une état des lieux intermédiaire
- il a le droit de s'opposer aux photos du bien. Eventuellement, vous auriez le droit pour la remise en location, mais en cours de bail, il n'y a pas de justification
- les dégâts s'évaluent en fin de bail, pas avant
- vous pouvez demander à visiter votre bien, dans le respect de la vie privée du locataire et en respectant des horaires raisonnables pour les deux parties
- Pour l'avoir dehors pour "occupation non conforme à l'occupation d'une personne prudente et raisonnable (ancien concept juridique de "bon père de famille"), vous allez vraiment avoir du mal. Je l'ai déjà fait, mais cela a pris du temps, l'affaire a été remise plus d'une fois, etc.
- s'il part à l'étranger et ne vous règle pas, bonjour pour aller récupérer vos sous...
Si l'origine du sinistre vient de l'appartement au dessus, c'est un dégât des eaux. C'est assuré. Le sinistré sera indemnisé par l'assurance, qu'il fasse les travaux ou pas.
Quant au voisin du dessus, si c'est un propriétaire, sa responsabilité est couverte par l'assurance de la copropriété. Les copropriétaires sont tiers entre eux pour ce qui est de ce genre d'assurance. Restera à sa charge la franchise.
Si l'assurance a vent que ce dégât des eaux est causé par des travaux mal réalisés par un corp de métier, l'assurance pourra se retourner contre le prestataire. Théoriquement, cela ne devrait rien changer. Pratiquement, cela bloquera tout, parce que l'assureur du prestataire voudra constater les dégâts...
Bonjour
Vous n'avez guère le choix.
Si il y a des impayés et que le locataire ne régularise pas, vous n'avez que la possibilité de porter l'affaire devant le juge de paix.
Et si en plus les locataires posent un problème dans l'immeuble, félicitez vous qu'ils ne paient pas et que vous puissiez mettre fin au bail pour non paiement. Parce que mettre fin pour tapage nocturne et diurne, je vous souhaite bonne chance.
Enfin, si vous avez été prudent, que vous avez fait un bail de courte durée et que vous êtes toujours dans cette période de courte durée, mettez fin au bail.
Désolé, mais bonne chance.
J'ai votre avis (sur l'ensemble des messages ici), je ne le partage pas.
Vous avez mon avis, vous ne le partagez pas.
Au delà de cela, rien ne sert de polémiquer.
Voilà une info qui vaut son pesant de chocolat pour rolandmag...
Vous enverra-t-il un ballotin? Rien n'est moins sûr...
G.B. a écrit :...L'on a découver ceci par suprise un peu tard :
Le gaz se vend au kWh et pas au m3, même si les relevés sont en m3....
Le relevé se faisant en m3, il est intéressant d'avoir les chiffres en m3 aussi. Sachant que le gaz se vend en euro de toute façon. Ni en m3 ni en litre...
Je pense que le contrôle est simple, et accessible à tous. Si lors de la répartition, il reste un montant d'eau ou de gaz à répartir, c'est que le syndic n'a pas donné le total des factures....
Contrairement à ce que Rexou dit, il ne suffit pas de donner la facture annuelle de régularisation qui reprend l'ensemble des montants facturés pendant l'année. En effet, à partir d'une certaine consommation, le relevé est mensuel et la facture mensuelle est à chaque fois une facture réelle de consommation exacte.
Enfin, je connais personnellement le cas où un syndic a dû redemander un décompte Ista parce qu'il n'avait pas fait le total correctement. Cela a coûté 120€, et le syndic a pris son erreur en charge. L'erreur a été découverte lorsque le le syndic a fait sa répartition et constaté que l'extourne comptable avant répartition des frais de l'ACP ne vidait pas les comptes de consommation de gaz...
Le concours de plusieurs polices d'assurances en copropriété est une réalité :
1° Les 2 polices payées par les copropriétaires pour le bâtiment et la PJ de l'ACP
2° L'assurance de l'ENTREPRENEUR qui fait des travaux à la cuisine de l'étage supérieur
3° L'assurance du LOCATAIRE qui a mis le feu accidentellement en fumant dans son lit
4° L'assurance de l'entreprise de nettoyage qui a laissé le sol mouillé et qq'un a lourdement chuté par accident
5° L'assurance de l'ascensoriste qui n'a pas eu de chance avec la chute mortelle de cabine ou l'AT de son personnel
6° L'assurance RC et vie privée du COPROPRIETAIRE qui a inondé l'étage inférieur ( machine qui déborde, joints sdb pas étanches, WC qui déborde parce que la canalisation a été obstruée par un jouet ou des lingettes...)
7° L'assurance protection juridique ARAG du COPROPRIETAIRE BAILLEUR qui n'étant pas un 'assureur indemnitaire" va rapidement aboutir à un procès au tribunal avec des avocats zélés payés pour débouter le copropriétaire de l'étage inférieur dont les plafonds sont tombés pour une cause dont l'ACP n'est nullement fautive.Le syndic peut faire intervenir "l'assureur indemnitaire" évoqué au point 1°, mais nous savons que rien ne l'y oblige dès lors que l'ACP n'est nullement fautive.
Tous les assureurs sont d'accords avec cette politique "amiable" entre eux et même le copropriétaire disposant d'une super protection juridique DAS ou ARAG ou d'un super avocat spécialisé ne sait pas forcer l'intervention de l'assureur indemnitaire si une autre compagnie peut couvrir le sinistre.
Ai-je oublié qqchose ?
PS: Pour ces motifs, je ne suis donc pas d'accord avec la critique de M. V. E que j'ai trouvé trop "simpliste" et c'est la raison pour laquelle JE PENSE QUE les syndics sont facilement critiqués, comme dit Rexou, à tort et j'explique que la source de ce désamour provient d'un défaut d'information et de compréhension entre les usagers et les syndics
Dans la longue liste d'assurance que vous mentionnez, il n'y a pas d'assurance incendie du propriétaire. Et vous avez raison. Parce que le propriétaire n'en a pas besoin: il est couvert par l'assurance de la copropriété.
Alors, si un sinistre est causé par un tiers, l'assurance de la copropriété remboursera ses assurés, et s'il trouve un coupable, que ce soit un locataire, un prestataire (ascensoriste, entreprise de nettoyage, de débouchage ou autre), l'assurance de la copropriété exercera un recours contre le responsable.
Mais je ne suis pas convaincu que vous comprenez réellement le jeu des assurances.
une infiltration d'eau probablement due à des travaux effectués dans la cuisine de l'appartement situé au-dessus : en quoi ce cas d'espèce diffère du cas de l'inondation provenant du WC situé au-dessus ?
Dans la pratique, ce n'est pas tous les syndics qui impliquent l'assurance de la copropriété ( avec la sinistralité que cela entraine pour sa cliente ) lorsque la cause est "privative", mais vous bien ?
Les copropriétaires ne sont pas assurés en dégât des eaux autrement que via l'assurance collective.
Il va de soi que si l'assurance collective impose une franchise de 3000€, il est inutile de déclarer des sinistres de 2500€
De même, pour limiter la sinistralité, il peut être décidé en AG ne limiter la déclaration des sinistres à un montant équivalent à 3x la franchise légale. Dans ces deux cas, la copropriété s'auto-assure en dessous de la limite, et le syndic ne doit pas impliquer l'assurance (mais il doit payer les dégâts...)
Ma pratique ancienne était conforme à ce que Perplexity a pondu. Evidemment, la majorité des biens dont j'étais syndic, étaient loués, souvent via des Agences, et propriété de personne pas toujours en Belgique.
Dès lors, je pense que cela arrangeait tout le monde que je m'occupe de tout, y compris de faire réparer les dégâts par les entrepreneurs habituels... (mais toujours comme service, jamais comme obligation. Chacun était libre de faire appel à son propre corp de métier, de réparer lui-même ou de ne pas réparer.)
G.B. a écrit :La théorie académique ( du législateur) avec sa loi d'ordre privé et de nullité relative font que dans la réalité à ma connaissance, jamais un syndic professionnel n'a été blackboulé par un juge de paix pour n'avoir pas respecté ces 16 missions qui sont fixées dans le code civil depuis le 2 juin 2010.
Depuis plusieurs années, dans la réalité, l'on constate que :
1° Cette formalité légale obligatoire de publicité de date d'assemblée générale ( cfr jugement RG 07A896 du 30 mai 2008 de la justice de paix du canton d'Ixelles) est-elle parfois effectuée ? Qui a un syndic annoncant formellement qu'il fera une assemblée générale et invitant les personnes concernées à se manifester ?2° Le budget des gros travaux pluriannuels prévisibles afin que les acquéreurs n'achètent pas "un chat dans un sac" ?
Mais quel syndic peut se permettre de se risquer à accomplir cette mission sans se faire blackbouler par ses clientes ....
3° En 2010, en apposant leur plaquette signalétique les syndics ont fièrement fait la promotion de certains articles de loi censées encadrer les assemblées générales et relatifs au droit d'accès à l'information et de participation en indiquant la quinzaine à laquelle se tiendront les assemblées générales statutaires.
Force est de constater que depuis plusieurs années, cette pratique a été abandonné.
Pour 186euros , les syndics collent une plaquette signalétique dont le contenu est standard à tous les immeubles de leur portefeuille , et se limite à leurs coordonnées, sans aucune mention de la loi sus-mentionnée ni mention de la période d'assemblée générale
4° quant à l'accès à l'information et aux documents et justificatifs, certains syndics proposent un accès numérique mais la loi ne les y oblige pas et cela arrange certainement ces copropriétés où une majorité dont l'état d'esprit n'est pas toujours optimal pour le building, fait la loi à l'avantage de certains...
Pourquoi ne faites-vous pas bénéficier le comité parlementaire chargé du suivi législatif de vos observations concernant la législation sur la copropriété forcée des immeubles ou groupes d'immeubles bâtis et de vos propositions de solutions ? Les citoyens peuvent adresser des requêtes à ce comité et ainsi participer au processus d'évaluation de la législation.
GT,
Vous avez un ennemi juré dans ce comité, ou c'est une haine générale du monde politique? 
Je n'ai pas conseillé de mettre votre dossier dans les mains d'un avocat. C'est certes une possibilité, mais il est possible d'y aller sans...
Bruxelles, je ne sais pas.
Charleroi, le risque en cas de dépassement du délai légal est nul.
On est domicilié à la date de la demande une fois que c'est confirmé par votre 2e passage à la commune (qui suit le passage de l'agent de quartier). Donc, domicilié une fois que vous avez votre document d'identité avec effet rétroactif à la date de la demande initiale.
Le processus peut prendre plusieurs semaines.
Vous aurez appris qu'il ne faut pas signer un contrat si la garantie n'a pas été constituée.
Et qu'il ne faut pas donner les clefs si le premier loyer n'est pas payé.
Le bail type Pim prévoit d'ailleurs: Le Preneur ne pourra, sauf accord du Bailleur, disposer des lieux tant que la garantie n'aura pas été dûment constituée.
Je suis plus dur: Avant de pouvoir disposer des lieux, la garantie devra avoir été constituée, le premier loyer versé et l’état des lieux réalisé.
Si la garantie est donnée en cash ou virée au propriétaire, il appartient au locataire d'ouvrir un compte bloqué dans la banque de son choix et de demander au propriétaire d'y verser la garantie.
Evidemment, tout cela ne règle pas votre problème. Je suppose qu'ils sont déjà sur place et occupent déjà le logement.
Personnellement, ce serait immédiatement direction justice de paix, sans attendre un jour de plus. Ce à quoi vous faites face est clairement de l'escroquerie et de l'abus de votre naïveté.
J'en connais qui ont des méthodes plus expéditives. Je n'ai pas recours à ces méthodes, clairement illégales. Cependant, si je peux comprendre, je n'encourage certainement pas.
PS : à l'exception des quelques syndics voleurs ou ripoux comme dans tout métier mais, souvent, ils peuvent agir parce que les CP les laissent faire au départ de la magouille.
Il faut tout de même reconnaître qu'un changement de syndic ne se fait pas d'un claquement de doigts. Un syndic qui ne remet pas ses comptes, qui ne fait pas de compte du tout, qui ne convoque pas une AG, qui n'effectue pas les travaux, qui ne fait pas le suivi des paiements, cela existe. Et entre la nomination d'un syndic incompétent et le constat de son incompétence, il peut s'écouler du temps. Entre le constat d'incompétence par quelques uns et le partage de ce constat... aussi. Quant à la convocation d'une AGE pour virer un syndic, cela ne se fait pas très facilement et cela prend du temps, surtout pour une grosse ACP. Entre les petits vieux qui ont le temps mais pas la compétence et les petits jeunes qui ont la compétence mais pas le temps, il faudra encore trouver une personne qui pourra prendre tout cela en main...
(Et je sais de quoi je cause, je sors d'un tel épisode où la personne qui a pu prendre cela en main, c'est moi...)
Je ne connais pas de copropriété où cela existe. Je ne sais pas si c'est possible.
2° Le budget des gros travaux pluriannuels prévisibles afin que les acquéreurs n'achètent pas "un chat dans un sac" ?
Mais quel syndic peut se permettre de se risquer à accomplir cette mission sans se faire blackbouler par ses clientes ....
Je ne suis pas d'accord avec vous. De nombreux syndics proposent un audit technique de leur immeuble, fait par un prestataire indépendant ou une société externe comme ImmoPass par exemple.
Et s'ils ne le proposent pas, les propriétaires peuvent aussi demander de mettre cela à l'ordre du jour. Finalement, le coût n'est pas exorbitant.
En l'incluant dans les obligations du syndic, le législateur lui donne une "arme" pour favoriser une bonne gestion et conservation de l'immeuble. C'est donc assez positif.