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Acheter un bien existant ou construire sa maison sont deux opérations qui nécessitent une bonne préparation car elles comportent d'importants aspects financiers, juridiques et fiscaux. Je trouve donc utile de recueillir sur ce forum les diverses expériences (bonnes ou mauvaises) ainsi que des conseils avant de me lancer dans cette grande aventure...
Commencez déjà par la lecture de notre FAQ immo
Merci pour votre réponse, ça me rassure à moitié mais qu'entendez-vous par "déduction pour habitation sur ce bien" ?
Vous avez ajouté le revenu cadastral à votre déclaration annuelle (IPP) et déduit la quotité d'abattement forfaitaire = c'est votre résidence principale = pas de taxation sur la plus-value éventuelle.
Vous voilà rassuré à 100 % ???
Je vous remercie vivement, les aides sont super sur ce site !!!
Merci pour vos encouragements 
Le bailleur peut mettre fin au bail à tout moment, pour occupation personnelle, à condition de notifier un congé de 6 mois.
Ce congé, pour être valable, doit mentionner le motif invoqué et l'identité de la personne qui occupera personnellement et effectivement le bien loué. il peut s'agir :
- du bailleur lui-même;
- de son conjoint;
- de ses enfants, petits-enfants ou enfants adoptifs, et de ceux de son conjoint;
- de ses ascendants (père, mère, grands-parents) et de ceux de son conjoint;
- de ses frères et soeurs, oncles et tantes, neveux et nièces, et de ceux de son conjoint.
Le bailleur ne pourra plus mettre fin au bail en vue de l'occupation personnelle par des membres de sa famille au 3è degré pendant les 3 premières années du bail.
Ceci s'applique aux contrats conclus ou renouvelés à partir du 31 mai 1997.
Le locataire peut demander au bailleur la preuve du lien de parenté. Dans ce cas, le bailleur doit prouver ce lien dans les deux mois; dans le cas contraire, le locataire peut requérir la nullité du congé. Le locataire doit à son tour introduire la requête en nullité dans les deux mois avant la fin du délai de préavis. Cette nouvelle règle s'applique déjà aux baux en cours le 31 mai 1997.
Que se passe-t-il si le congé n'est pas motivé ?
Ce congé est nul. Le bailleur doit notifier un nouveau congé qui soit conforme à la loi.
Le délai ne commence à courir qu'à partir de la réception de ce nouveau congé par le locataire.
Comment le locataire peut-il contrôler le respect de ces conditions ?
La loi prévoit que l'occupation personnelle des lieux par le bailleur ou l'un de ses proches doit avoir heu dans l'année qui suit l'échéance du préavis donné, ou en cas de prolongation, après restitution des lieux par le locataire, et se prolonger de façon effective et continue pendant deux ans au moins.
Si ces conditions ne sont pas réalisées, le locataire a droit à une indemnité égale à 18 mois de loyer, à moins que le bailleur puisse justifier d'une circonstance exceptionnelle.
Qu'entend-on par circonstance exceptionnelle dans ce cadre-ci ?
Il doit s'agir d'un motif important qui
* empêche le bailleur d'exécuter le projet qui était le sien,
* résulte d'une circonstance indépendante de sa volonté et
* est imprévisible au moment de la notification du congé.
(source : www.demine.com)
Bonjour,
J'aurais quelques questions concernant le contrat de vente que nous avons passé avec une agence immobilière.
Le contrat a été signé le 8 mars dernier, en 6 semaines, nous avons eu 3 visites. Il est vrai que nous avions demandé pour notre maison 5.200.000 Bef. L'agence l'a indiquée à 5.600.000 Bef. Peu après, nous leur avons demandé par 2 reprises de baisser le prix à 5.400.000 Bef, à ce jour elle est à 5.450.000 Bef, donc toujours pas au prix que nous avions demandé. Nous leur avons bien spécifié que nous étions tout à fait d'accord d'analyser toute proposition faite à un prix inférieur, mais nous ne voyons toujours rien venir. Le vendeur nous dit que les gens ne font même pas de proposition. Lorsque l'agent immobilier est venu chez nous, il nous a dit qu'il y aurait une publicité sur RTC une semaine sur deux, idem pour les journaux. La pub sur RTC n'y a été qu'une semaine et cela fait maintenant 4 semaines que la maison n'apparait plus dans aucun journal. Sur le site internet de l'agence, lorsqu'ils ont encodé la maison, il y avait sur 3 lignes, une dizaine de faute d'orthographe, des informations incorrectes, du style: "chauffage: convecteur au gaz". Pour une maison de 1999, ce n'est tout de même pas fort possible, des erreurs dans les dimensions des pièces, du jardin, et j'en passe. Le 8 avril dernier, nous avons reçu un message à 17h58 de l'agence qui disait qu'une visite était prévue, que nous n'étions pas présents et que les gens attendaient devant la porte or, nous n'avions pas été prévenus. La visite a été reportée au 13 avril, et là, ce sont les clients qui ne sont pas venus. Il me semble qu'une visite doit se confirmer avant ou je me trompe. Bref, nous voudrions casser le contrat de vente exclusive que nous avons pour 6 mois mais ne savons pas comment. Dans le contrat, il n'y a aucune clause d'essai de 7 jours, le contrat fait 1.5 page recto-verso. Il y a une clause qui stipule que si nous résilions le contrat nous nous reconnaissons redevable d'une indemnité égale aux montants des honoraires, idem si la résiliation venait de chez eux. Nous leur avons demandé s'ils recontactaient les clients après la visite pour savoir ce qu'ils pensaient de la maison mais nous n'avons eu qu'une réponse approximative. Bref, nous ne savons pas que faire. Pourriez-vous nous renseigner à ce sujet?
Merci
Merci pour votre message et pour votre intérêt pour notre site www.pim.be
Comme expliqué de manière circonstanciée sur notre site à la page,
https://www.pim.be/pimfichier/assistance.html
ce type de question est traité par le service juridique indépendant « Legal Hotline » avec lequel nous vous invitons à prendre contact, en vous recommandant de PIM :
Téléphone : 0903 99 003 (tarif unique : 1,12 euro/minute, aucun abonnement à souscrire).
Si des documents doivent être transmis pour examen lié à vos questions, ils peuvent l’être :
- soit par fax au n° 02.513.72.79
- soit par email à info@legalhotline.be
Nous ne doutons pas que vous trouverez ainsi une solution au problème invoqué ou, à tout le moins, un éclairage judicieux sur vos droits et obligations.
divorcée depuis 2 ans mon ex à garder la maison et tout les meubles nous avons 4 enfants et la liquidation va seulement commencer il veut maintenant vendre la maison pour que je ne puisse rien lui demander il n'a jamais fait les travaux necessaires alors qu'un pret travaux avait été demander et obtenu il a bien evidement garder l'argent suis je tenue de rembourser ce pret avec lui ou est ce que le pret lui incombe?
La banque a donné l'argent "travaux" sans vérifier qu'ils aient été faits ?, ni sur production de factures ? Bizarre...
Quant à savoir si vous êtes également tenue au remboursement... il faur s'en référer au contrat signé pour savoir si vous êtes co-débitrice.
Et votre avocat, qu'en pense-t-il ?
Pour éviter les lenteurs et les surcoûts judiciaires, il convient - comme c'est le cas dans nos documents téléchargeables online sur www.pim.be - de prévoir dans vos conventions notamment locatives une clause de compétence qui renvoye à une Chambre d'Arbitrage et de Médiation plutôt qu'à la Justice...
Par ailleurs, pour ce qui est des assurances, il ne faut pas interrgoer votre comlpagnie d'assurances (je suppose celle qui couvre le risque "incendie"), mais à votre courtier en assurances qui devrait pouvoir vous guider.
Outre Korfina, il existe des compagnies spécialisées en protection juridique (par ex: Arag, DAS, etc.)
D'autre part, dans le cas présent, le bailleur n'est pas un particulier, mais bien une agence (**** S.P.R.L) ce qui, me semble-t-il, complique un peu la procédure de conciliation à l'amiable.
P.S. : Le [BCD] est-il activé pour les signatures ?
- J'ai supprimé le nom de l'agence concernée. Mises en cause nominatives pas autorisées sur le forum...
- Derrière la façade société , il y a des humains... Elle agit comme propriétaire ou dans le cadre d'une gestion locative ?
Rien ne vous empêche d'y parler à quelqu'un.
- La solution la moins onéreuse serait de trouver un locataire qui vous remplace (cession bail)
- comprend pas votre PS sur BCD activé
- dans votre signature vous avez intégré la photo etc. Vous pouvez retourner dans la gestion de votre identification comme mebre pour corriger
Bonjour,
j'aurais voulu savoir s'il était possible de mettre fin à un bail de 1 an pour cause d'insolvailité.
N'étant plus en mesure de pouvoir payer mon loyer et voulant tout de même récupérer ma garantie. Ne vaudrait-il pas mieux pour le bailleur accepter cette condition, plutôt que de se retrouver avec un locataire qui ne paie pas son loyer.
Le locataire concerné est dans la Porsche ou s'agit-il de la dame contre la balustre ?
Plus sérieusement : le plus simple dans ce cas, ce serait d'en parler avec le propriétaire et de convenir avec lui d'une résiliation anticipée à l'amiable.
Sur ce forum légaliste (et c'est bien comme cela), il est interdit de conseiller cette formule...
Le forum n'est pas "légaliste" : il essaye d'informer nos visiteurs sur leurs droits et obligations, sur les bases légales existantes.... mais aussi sur base du vécu et des expériences des uns et des autres.
Grâce a votre aide, je suis aujourd'hui propriétaire de MA maison (enfin la banque) je souhaiterais y faire des travaux, un entrepreneur me dit qu'il faut simplement que j'écrive à la commune en leur sigalant les travaux et des connaissance me disent qu'il me faut un permi de batir (architecte, plan, sousous, ect..) pouvez vous m'aidez à savoir qui a raison.
Les travaux soont les suivants:
- percer une nouvelle fenêtre.
- transformé une fenêtre existante en une porte fenêtre.les deux étant sur la façade arrière de la maison mais parfaitement visible de la rue qui y passe!
Je vous conseille de vous rendre auprès du service d'urbanisme de la commune concernée qui vous indiquera ce qui est autorisé "sans permis de bâtir".
Mais, à mon avis, des modifications à la façade, nécessitent l'octroi d'un permis (mais je ne vois pas pourquoi on vous le refuserait).
Bonjour,
Le terrain fait 80 ares dont 25 sont "à bâtir". Il y a 50 m à front de rue, il y a donc
possibilité de faire construire au moins 2 maisons.
J'envisage d'acheter le terrain avec ma compagne et faire construire notre maison mais étant donné la superficie importante et la possibilité de diviser la partie "à bâtir", j'en ai parlé à mon frère qui serait interessé d'acheter la moitié du terrain.
Etant donné que le terrain est à vendre entièrement et qu'il n'est actuellement pas
"divisé" en parcelles, quelles sont les démarches, obligations et frais qui découlent
de ce projet ?
Merci pour votre aide.
Tristan
A mettre dans la catégorie des questions qui paraissent simples
Normalement, il faudrait un permis de lotir.
Région concernée ?...
Si achat global (hors permis de lotir) : D'un point de vue juridique : il y aura déjà l'indivision entre vous et votre compagne (puisque je crois déceler que vous n'êtes pas mariés).
Vous voulez y ajouter votre frère.
Il y aurait donc dans un premier temps indivision à 3.
Si permis de bâtir obtenus, après constructions, vous pourriez sortir d'indivision et faire division du terrain entre parcelles bâties.
Mais tout cela est à manier "avec des pincettes" et présuppose que personne ne se dispute dans l'intervalle...
Consultez votre notaire avant de vous lancer dans une opération de cette envergure...
Merci beaucoup pour vos commentaires.
En fait c'est le notaire des vendeurs qui a stipulé cette formule. A l'époque je ne voyais pas d'inconvenient mais aujourd'hui je me demande si en demandant au receveur d'enregistrement avant la vente on ne lui met pas la puce à l'oreille,
c-a-d en le demandant on montre indirectement que le prix de vente est considéré comme trop bas. Que pensez-vous ?
- Ce n'est plus "avant la vente" ...
- condition suspensive ??? Curieuse démarche de la part du vendeur. Faudrait voir la clause contractuelle exacte. Quelle a été la motivation donnée par le vendeur (ou son notaire) pour cette clause ?
- "puce à l'oreille" : vu le caractère inhabituel de la démarche... peut-être
Mais, en pratique, l'administration fonctionne en la matière essentiellement par points de comparaison "sur papier" (surface bâtie, revenu cadastral, localisation, etc.) sans voir les biens concernés.
En cas de "contestation", il suffit de demander à l'administration ses points de comparaison.
- Prenez conseil auprès de votre propre notaire
Bonjour à tous,
Nous avons signé un compromis il y a deux semaines pour l'achat d'un bien immobilier. Ce compromis contient deux conditions suspensives:
1. Obtenir l'accord de la banque des vendeurs et du recevreur de l'enregistre pour vendre le bien au prix convenu
2. Obtenir un près de notre banque (classique)L'idée derrière était de faire la demande de prêt seulement quand la banque des vendeurs marque son accord afin d'eviter des frais de demande de crédit. L'étude du notaire nous avait suggéré d'inclure également la formule que le recevreur de l'enregistrement doit marquer son accord mais selon ce que je viens d'apprendre ceci n'est pas possible avant la signature d'acte et des avis d'insuffisance peuvent etre emises jusqu'á deux ans après la signature donc je ne comprends pas l'intérêt d'une telle formule dans le compromis. Est-ce que quelqu'un a de l'expérience avec ceci?
Merci d'avance
Jo
C'est une formule inattendue, mais pourquoi pas ?
Et le vendeur a accepté cette clause ?
Précision toutefois : il n'appartient pas à l'administration de marquer ou non son accord sur un prix de vente (les parties sont libres de vendre à n'importe quel prix convenu), mais il faut payer les droits d'enregistrement sur la valeur vénale normale du bien.
L'administration dispose effectivement d'un délai de 2 ans pour notifier une "insuffisance". Aussi est-il très important de pouvoir prouver l'état du bien au moment de son achat (par ex. par des photos, par un rapport d'expertise, etc.) AVANT d'y faire des travaux.
Il n'est pas interdit de prendre l'avis du Receveur concerné sur la valeur convenue... Comme l'indique le SNP, demandez à votre notaire de faire lkes démarches adéquates.
Le 15 juin 2004 cela fera 5 ans que j'habite un appartement. je souhaite déménager et je dois envoyer un renom au propriétaire qui me dit qu'il doit recevoir le renom pour le 15 avril au plus tard (sous peine de me voir prolonger d'un mois mon contrat de location et donc de payer un mois de loyer en plus) alors que j'étais persuadée qu'il devait le recevoir au plus tard 3 jours avant la fin du mois.
Quelle date dois-je prendre en compte, la date de signature d'entrée dans l'appartement (le 15 juin) ou la fin du mois?
Je suppose par ailleurs, que si on prend en compte la date du 15 juin, je peux m'en aller le 15 juillet (3 mois de préavis légaux) et ne lui payer par conséquence qu'un demi-mois de loyer?
Merci de me répondre, car je dois signer dans les jours qui viennent mon nouveau bail de location avec la nouvelle propriétaire et je ne sais pas quoi faire?Nathalie
Message posté dans mauvais "salon", mais soit... (fallait choisir celui relatif aux baux).
Je suppose qu'il s'agit de votre résidence principale et qu'il s'agit d'un bail de cette nature, auquel cas il s'agit d'un bail de 9 ans.
Vous pouvez notifier votre préavis quand vous le voulez (mais de préférence 3 jours ouvrables avant la fin d'un mois).
Puisque vous êtes dans la 5e année : pas d'indeminité de résiliation.
Le délai de prévis commence à courir à partir du premier jour du mois suivant (donc pas de demi-loyer).
Prenez contact avec la legal hotline : tel : 0903 99003
Parmi les curiosités de cette affaire, il y a cette idée selon laquelle l'agent immobilier aurait à signer le compromis de vente à votre place et que pendant ce temps-là vous vous rongez les ongles en vous demandant si tout s'est bien passé !
Il va de soi que le compromis doit être signé entre parties concernées (celles-ci pouvant éventuellement être représentées par un mandataire, mais ne compliquons pas ici le débat).
En outre, le compromis de vente est l'étape juridique la plus importante dans le processus vente/achat : ne laissez donc pas n'importe qui signer n'importe quoi en votre nom !
J'ignore qui est l'agent immobilier concerné dans cette affaire (et je rappelle qu'il n'est pas autorisé de citer des noms dans le cadre de ce forum), mais cela me paraît pour le moins singulier comme comportement...
Et pour la mission de vente que vous lui avez confiée, cela relève du même confort juridique ???
Je tiens à préciser qu'il s'agit du cas d'une locataire qui me demande conseil pour venir chez une de mes connaissances... j'ai pas de logements pourris!
Ouf ! J'avais un moment de doute ... 
pouvez vous me dire si vous connaissez le nombre maximum de kots à avoir pour ne pas devoir respecter les normes RF? Mon courtier me parle de 6, est-ce vrai?
Les normes RF (résistance au feu) ne sont pas là uniquement pour embêter son monde... C'est surtout une question de sécurité.
Les préoccupations économiques doivent-elles l'emporter sur les normes de sécurité ? 
Salut à tous!!
Je viens d'acquérir un bien via un agent immobilier. Je viens de me rendre compte en regardant le décompte du notaire qu'il a prélevé 2422 euro sur la somme empruntée pour "négociation du bureau". Je me suis renseigné auprès de la personne qui m'a vendu la maison et celle-ci lui a payé la somme de 2455 euro aussi pour négociation . Est-ce normal?
J'ai acheté cette maison 59500 euro, l'agent m'a fait emprunter 73000 euro assurance vie comprise et "ses négociations".
Je suis perdu et voudrais comprendre.
Merci. A bientôt.
Et votre notaire n'a donné aucune explication sur ce décompte ??
Votre intermédiaire concerné a l'air de porter plusieurs chapeaux : il faut voir sous lequel (de chapeau) il semble pouvoir réclamer des honoraires.
Mais, a priori :
- comme intermédiaire pour le prêt hypothécaire : il est commissionné par l'organisme financier et ne peut rien vous réclamer
- comme agent immobilier : sauf convention contraire expresse (= contrat signé avec lui), il ne peut rien réclamer à l'acquéreur. En tout cas , il ne peut pas se faire payer par les 2 (vendeur + acquéreur) : sauf si, dans le cadre de votre négociation d'achat, vous avez convenu avec les parties concernés que vous supportiez chacun un morceau de ces honoraires.
Mais apparemment, selon votre exposé, ce n'est pas le cas.
Bref, demandez d'abord à votre notaire d'expliquer ce décompte et contestez-le, le cas échéant
Merci Grmf pour cette réponse complète !
Et bravo pour ces pseudonymes qui collent si bien au mien.Au fait, si Félix (qui n'a pas de chatons) paie la nue-propriété de Toutou par remise d'un chèque chez le notaire, actant dès lors une donation, cela n'entraîne t'il pas de frais de donations ?
Ne vaut-il pas mieux faire une donation préalable auprès d'un banquier (et dont gratuite) ?
Vous trouverez des explications à ce sujet sur Notaire.be au chapitre "donations".
C'est une matière à manier avec prudence et nous vous conseillons donc de prendre contact avec votre notaire AVANT d'agir. Il vous conseillera utilement sur la meilleure manière de procéder dans votre cas d'espèce.
Waf !