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@ Grmff
verve, passion, humour... et rapidité...
Un joli quatuor.
Pas toujours d'accord mais je pense que vous êtiez un bon syndic.
L'AG dans le hall de l'immeuble? Pour une copropriété avec 4 appartements occupés par les proprios, alors.
Parce qu'avec 100 propriétaires dont 25% habitant à l'étranger, et un seul qui habite sur place, c'est moins évident. Avec 4 garages propriétés de personnes qui n'ont pas d'appart, c'est quasi impossible. Et je ne parle pas de ceux qui ne sont propriétaire que de caves...
Soyons sérieux et réalistes. Les situations sont diverses et variables. Vous avez l'expérience de votre copropriété, et vous ne voyez que de la mauvaise volonté à chercher des solutions...
Votre copropriété n'en est pas une autre.
Ma phrase contenait :
"si il est
assez grand etc...
et
pourquoi pas !
Merci de bien me lire.
Cette formulation d'une part se voulait ouverte à des solutions non classiques d'autre part manifestait mes doutes lorsque l'on propose des solutions trop originales.
J'ai connu une grande copropriété qui convoquait systématiquement la première AG... au bureau du syndic, étant entendu que personne ne s'y présenterait (et les quelques réfractaires ne réuniraient pas le quota nécessaire). Une seconde AG était ensuite convoquée dans un local adéquat, et était assurée de pouvoir délibérer valablement.
Et on parle de démocratie !
Quelle manip !
Par contre le hall de l'immeuble s'il est asez grand etc... Pq pas ?
grmff a écrit : Cher Rexou,
Votre comportement est un scandale, et votre raisonnement un abus de pouvoir.
Je rajouterai que je vous souhaite de ne pas l'avoir écrit à votre voisin. Parce que cela relève du pénal à deux niveau: menace conditionnelle et racisme caractérisé.
......
Bien sur que non, je n'ai pas écrit ma "réponse", je l'ai seulement exprimée verbalement.
Mais je ne comprends pas en quoi mon comportement est scandaleux !!!
....Et pourquoi alors ne pas pouvoir étendre cette interdiction aux enfants par exemple ?
La réponse de Gmrff a le mérite (entre autres) de la clarté.
Vous n'avez rien écrit. Votre "ange gardien" vous a préservé ou connaissez-vous très bien les limites à ne pas franchir pour ne pas "être pris" ?
Combien de temps, et d'énergie perdons-nous s'il n'y a pas de règles communes admises et si chaque fois nous devons "refaire le monde" ?
Et comment arriver à une situation durablement satisfaisante si elle est sous-tendue par une menace ? C'est la paix armée jusqu'aux dents ?
Si vous allez voir votre voisin pour avoir un accord à l'amiable,il est quand même plus confortable d'y aller si vous savez qu'il y a une loi qui plaide en notre faveur.
...
en cas de problème, je me renseigne pour savoir si la loi me donne raison avant d'entamer des négociations.
Sage attitude mais qui ne garantit rien face à certaines personnes qui "interprètent" de manière "surprenante"
Aïe je vais craquer ... paf c'est fait.
J'apprécie beaucoup l'humour décalé.
Bjr à tous,
Sans vouloir critiquer, ni juger : Pas de chômage locatif.
Vous faites appliquer la loi : 2 mois pr rupture de contrat.
Eux utilisent leur droit de rester jusqu'au dernier jour, quoi de plus normal.
eh oui, sans vouloir critiquer ni polémiquer, non plus, "on est parfois gagnant, parfois perdant". Encore qu'il me semble vraisemblable que le propriétaire soit assez souvent perdant étant donné les côuts divers, par exemple pour trouver un nouveau locataire.
@ Francis (pour mon info)
Un local loué à un courtier d'assurance qui l'utilise pour démarcher au téléphone et recevoir sur rdv des clients ne nécessite pas un bail commercial. Le même local utilisé par un courtier d'assurance avec forte publicité sur les vitrines, comptoir d'accueil, etc, sera par contre avec bail commercial. La nuance est à mon avis sensible et parfois floue. Si l'asbl vends ses conseils et avis et dispose d'une structure d'accueil "commerciale", il faudra un bail commercial
Dans les 2 exemples du courtier, à supposer qu'ils travaillent en société, leur société est-elle de nature civile ?
Merci
Il faut voir ce que dit le contrat de bail... et la réalité de l'occupation des lieux.
Pour ce qui est de la "société civile à forme commerciale", il faut voir son activité: artisan en contact avec le public, ou commerce de détail?
s'il s'agit d'une société civile, cela ne peut être un commerce par définition.
L'objet est civil et non commercial.
Bonjour,
Ou doit-il attendre la date précisée plus bas avant d 'agir ?, je cite"
overrenkomstig artikel 499 van het Wetboek van de inkomsenbelastingen 1992 is de uiterste datum voor bezwaar : 12/04/2010". Phrase mentionnée en bas du document du cadastre.L 'administration flamande donne t-elle un délai maximum de 2ans pour introduire telle requête ?
la traduction de cette phrase : l'article 499 du code des impôts sur les revenus de 1992, la date ultime d'opposition : 12/04/2010
Aucune raison d'attendre.
Après le 12/04/2010 vous ne pouvez plus intoduire de réclamation.
C'est donc bien un délai maximum pour introduire votre requête.
jelou a écrit : Bonsoir
Que madame quitte monsieur ne change rien à votre bail. Si vous voulez perdre une garantie en la personne de madame c'est à vous de voir.
Madame a signer elle reste responsable jusqu'à l'échéance du bail.
personnellement ça 'est déjà arrivé et j'ai refusé en effet si monsieur vient à ne pas payer, vous pouvez vous retourner aussi contre madame car ils sont solidaires.ok mais bon, si madame comme tout locataire paie les indemnités dues elle peut quitter et résilier le bail anticipativement, non ?
eh non ! la rupture doit émaner de chacun des 2 cohabitants.
Je croyais que mon message était limpide, du moins pour un avocat ou un juriste. Ce sont les maîtres de l'escamotage !
bien vu, mais chut...
'horen; zien, zwijgen"
C'est malheureusement un problème courant. Et, avec le matériel normal et courant, l'intervention doit être faite dans tous les apparts en même temps au risque de se retrouver avec d'autres parlophones en rade.
J'au zu le même problème.
Origine : configuration des lieux, des cablages. Diverses tentatives de résolution. Pas de résultat vraiment satisfaisant.
Le récepteur n'était pas en cause.
Citation :Les notaires travaillent en fonction des éléments qu'on leur présente et la rédaction de l'acte de base dans sa version originale est fait sur base de plans présentés à un moment donné.
Avec un taux d'erreurs pareil, il est illusoire de croire à l'innocence des notaires.S'ils ne posent pas les questions, ne regardent pas les plans, ne demandent pas le système de chauffage, de demande pas comment se fera la répartition des frais, pas étonnant qu'ils racontent n'importe quoi, de manière systématique.
En fait, je pense que les notaires ne savent pas comment fonctionne une copropriété, n'ont jamais vu de compte de copropriété, n'ont jamais été en AG... et s'en fiche comme de leur premier acte!
Ceci n'est-il pas une dérive du genre de celle que vous n'aimez pas pour les syndics ? (?)
Bonjour,
Mes futurs ex-locataires m'ont informée qu'ils ne "savaient" pas me payer les loyers pendant leur préavis. Bien qu'ils affirment que ce problème ne soit que temporaire, en fin de préavis, l'ardoise à regler portera sur 2 mois de loyers impayés, 2 mois d'indemnité de rupture, ainsi que d'éventuels dégâts locatifs. Ils nous ont dit avoir déjà déménagé ailleurs au 1er janvier. D'où un double loyer à payer...Ils ont résilié leur bail dans les formes. Que faire vu que la garantie n'est que deux mois?
Limiter les dégâts : chercher un nouveau locataire au plus vite : vous et les locataires qui ont résilié.
curieux a écrit : (...) Par analogie avec les avocats, profession pour laquelle je crois que l'on peut comprendre la situation du stagiaire comme ceci : (...)
C'est toujours dangereux de raisonner par analogie. En fait vous généralisez.
Oui, mais
1° ne le faites vous jamais ?
2° mes termes étaient très prudents et ouverts à toute correctoon et/ou précision.
@ Grmff
Oui, je suis sévère avec la rédaction des actes de base. Il y en a tellement peu que j'ai vu bien rédigé que franchement, je trouve cela scandaleux.
Si chez vous, cela se limite à la consommation d'eau, je peux vous garantir que dans bien des copropriétés, c'est très différent.etc.....
Ok Grmff. J'ai un peu simplifié, sur base d'accords intervenus dans notre copropriété par "réalisme". Car effectivement l'acte de base est insuffisant dans sa version originale.
A la décharge du notaire il faut noter que l'acte de base a été rédigé avant l'achèvement de l'immeuble dont les plans ont été modifiés.
Je nuancerais (ou j'aggraverais c'est selon) votre opinion. Les notaires travaillent en fonction des éléments qu'on leur présente et la rédaction de l'acte de base dans sa version originale est fait sur base de plans présentés à un moment donné. Ces plans peuvent subir bien des modifications et l'acte de base n'est pas toujours modifié comme il se doit par le promoteur.
Si l'agent immobilier chargé de la vente est du style : "on arrangera bien ça en temps utile" cad quand la vente a eu lieu bonjour les problèmes.
On s"arrange en effet, en ne transmettent pas certains documents comme les annexes ou modifications de l'acte de base, ou seulement quand le compromis de vente est signé (l'acte de base ), qui font modifier les annexes à l'acte de base sans AG mais en faisant le porte à porte chez les acquéreurs précédents entre la signature du compromis et l'acte de vente.
Cela peut paraître très "gros" mais cela existe et l'on peut en tant qu'acquéreur être très "novice" en ce qui concerne les copropriétés.
Calculer la provision en fonction des millièmes est une vaste connerie. Cette manière de calculer est idiote et basée sur l'inexpérience totale des notaires qui ne comprennent pas ce qu'est une copropriété.
Vous êtes ben sévère avec les notaires.
Une partie des charges, les charges communes, ne sont-elles pas réparties en fonction des quotités ?
Il n'y a alors plus que les charges de consommation par unité qui ne sont pas calculées au prorata des millièmes. Chez nous cela se limite à la consommation d'eau.
Je viens de lire un article dans lequel il est écrit que "l 'agent immobilier stagiaire est un indépendant et jouit des mêmes droits que l'agent immobilier agréé IPI. Il peut ainsi exercer la profession sans restriction" Il n'y a pas une contradiction ?
Le stagiaire est agent immobilier agréé IPI. Il a tous les diplômes et formations requis.
Pas de contradiction donc.
A noter que c'est pareil pour les avocats stagiaires. Ils sont avocats avant tout.
Par analogie avec les avocats, profession pour laquelle je crois que l'on peut comprendre la situation du stagiaire comme ceci :
il faut obligatoirement un professionnel inscrit au tableau de la profession qui "trace le cadre de travail du stagiaire y compris sa rémunération" ?
Cela peut aller de : vous faites tout par vous-même, trouver vos clients, etc... jusqu'à vous travaillez dans mon équipe.
Le stagiaire aurait donc théoriqument un "mentor" à qui il peut, (doit) s'adresser en cas de problème.
Le "maître de stage" donnerait au stagiaire l'occasion d'acquérir une certaine expérience patique.
Donc pas de restrictions concernant les "actes" mais un encadrement de ceux-ci.
totocane/ a écrit :Je vous redis que je ne reproche pas à mon syndic d'apporter des devis. bien au contraire, quand une décision est prise, j'aimerais qu'il en apporte plus qu' un seu
l.
Et combien de fois a-t-on suite à ctte "présentation" - avec déjà un devis plutôt qu"une estimation basée sur son expérience - faite par le syndic, conclu qu'il fallait fairre un appel de fonds spécialement pour réaliser les travaux ?
Déjà présenter un devis me semble très profhe de la "technique du pied dans la porte". ) Les vendeurs comprendront.)