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Le remplacement du compteur est bien privatif. Notez que souvent le syndic organise ce travail et impute les frais en privatif. Normalement la vanne doit être manipulée 2 à 3 fois par an, mais qui le fait. De toute façon, Léa n’a aucune influence sur le fonctionnement du compteur et du mitigeur. En tout état de cause, comme l’entrée est toute récente, vous n’avez aucune responsabilité sur ces problèmes. C’est déjà gentil à vous de vous en occuper !
Mais qu’en est-il des contrôles ? Il y a des milliers de belges d’origine immigrée qui sont propriétaire dans leur pays d’origine et achètent avec primes et abattements ici en Belgique. Constat sans aucune connotation !
Rien à voir avec un plan du cadastre. À mon avis, c’est un plan de mesurage (et/ou bornage) établi par un géomètre (vu les coordonnées );
Avec l’adresse, vous pouvez voir sur le site du cadastre ce que leur plan comporte.
Vous pouvez demander au vendeur ce qui était repris comme renseignements sur l’acte de vente précédent !
Merci GT
Merci !
Je crois qu’il n’y a pas moyen d’avoir connaissance d’un certificat PEB sur base de l’adresse ou des références cadastrales. Ici, on est en pleine vacances du promoteur/vendeur
Bonjour,
Simple petite question dans un domaine que je ne maitrise pas.
Dans le cas d’un achat d’appartement neuf qui va être mis en location, en région wallonne, le promoteur/constructeur/? Doit-il fournir un certificat PEB ?
Ou faut-il faire passer un certificateur PEB ?
Cela ne préfigure pas des jours radieux pour les propriétaires-bailleurs.
Le but du gouvernement et de l’administration est d’agir dans la provocation envers un propriétaire bailleur en lui présentant plusieurs candidats aux profils différents. Suivant celui qui sera retenu par le bailleur, il y aura plainte pour discrimination ou pas.
L’administration risque bien de ne pas considérer que le bailleur a le libre choix pour un tel contrat et vu la manière de procéder de la Dirl déjà pour les problèmes de normes pour lesquels les explications des bailleurs ne sont presque jamais prisent en considération, je pense que chaque examen de possible discrimination aboutira à une condamnation ou amende.
Et comme l’administration interviendra toujours en dernier ressort .....
Finalement’ l’admInistration du logement se met au dessus des tribunaux vu qu’en l’absence de réaction du parquet (parce que le procureur a par exemple, décidé qu’il n’y avait pas d’infraction) elle peut encore poursuivre administrativement.
Quand on connaît leur méthode d’agir, déjà en matière de suivi d’une plainte relative à la conformité dans laquelle ils ne tiennent quasi aucun compte des dires du propriétaire, on peut s’inquiéter !
Dans je ne sais plus quel pays, les significations de retards de paiements, etc. sont effectuées par une personne (huissier ?) en redingote et chapeau haut de forme. C’est sur qu’il ne passe pas inaperçu !
Il peut demander un permis pour construire une annexe et dans ce cas reboucher la baie de fenêtre après avoir racheté la mitoyenneté !
La servitude de jour ou de vue, si je me souviens bien, ne peut pas être une limitation au droit de propriété, ici, le droit de construire une pièce accolée a mur.
Sauf preuve ou présomption contraire, le mur, ici entre bâtiment et cour, n’est pas mitoyen mais appartient bien intégralement au propriétaire du bâtiment. Le voisin ne peut donc pas, sans autorisation ou jugement, masquer la baie à l’aide de briques, ou autre !
Si l’évaluation immobilière se limitait à remplir quelques cases d’une application, cela se saurait.
Après plus de 40 ans de métier, je suis toujours très prudent quand à mes expertises de valeurs, et pourtant j’ai toujours pris beaucoup de temps à croiser mes calculs et analyses.
La seule valeur fiable est finalement le prix obtenu !
Lorsque j’étais en activité, géomètre expert immobilier, je me faisait régler mes honoraires avant ma visite par le locataire. Il est évidemment plus facile de retrouver un propriétaire qu’un locataire, mais j’avais un discours très clair à ce sujet.
À partir du moment ou j’ai pratiqué de la sorte, j’ai réduis mes impayés de 97%.
Notez qu’actuellement, c’est bien la superficie « moquette » ou SIM pour le calcul de répartition des quotités pour l’acte de base des copropriétés.
Les superficies calculées tiennent aussi compte des zones de faible hauteur sous plafond !
Abandon de recours vu le type de locataire de mes immeubles mais je ne le dis pas car cela me permets de me fâcher sur eux s’ils n’ont pas pris l’assurance ou de leur faire payer le dégât pour limiter mon historique sinistre !
Dans certains cas, on calcule avec les murs intérieurs et extérieurs (jusqu’à l’axe mitoyen ou la face extérieure du murs de façade) et dans d’autres, on prend la superficie moquette, chaque pièce est calculée de mur à mur.
On arrive parfois à 20 % de différence et même plus !
Dès que nous ne verrons plus de navetteurs encombrer nos routes et nos transports en commun, nous (les bruxellois) examinerons la possibilité que le reste du pays soit autre chose qu’une terre de vacances !
Garder d’office la garantie jusqu’à réception du décompte de la copropriété, on ne peut pas, je crois bien que le sujet a été abordé plusieurs fois ici.
Le principe adopté par les professionnels, et validé par la justice, me semble-t-il, est de calculer sur base de décomptes des exercises précédents quelle sera le décompte en principe pour cette durée de location? De l’augmenter d’un certains pourcentage sur base de l’index, éventuellement de suppléments connus. De la on déduit les acomptes mensuels et o, arrive à une somme que le propriétaire peut conserver en attendant le décompte du syndic.
Mais jamais on ne garde 2 mois de loyer pour un supplément de 50 ou 100 €
SVP arrêtez de faire référence à des experts judiciaires dans des expertises privées. L’expert n’a le titre de judiciaire que dans le dossier pour lequel il a été désigné par le juge.
C’est une forme de publicité mensongère de la part de certains experts. J’ En ai rencontré un qui faisait pareil mais n’avais plus fait d’expertise judiciaire depuis 15 ans !
Pour en revenir au dégât locatif. Un trou reste un trou, qu’il soit causé par n’importe quoi, même une agraphe . Le seul trou que j’étais prêt à accepter de toute ma carrière d’expert était celui causé par un clou en or, bien entendu laissé dans le mur. J’aurais empoché le clou et fait la réparation moij-même.
Donc, le trou est un dégât et on le compte au locataire.
Évidemment, si on rebouche le trou, on le verra, et il faudrait repeindre.
La remise en peinture est elle d’office à charge du locataire, non et très rarement dans l’entiereté.
Exemple 1: Peinture neuve à l’entrée. Le locataire reste 6 mois el laisse les lieux en mauvais état, trous dans les murs et taches. L ‘indemnité compensatoire reprend les frais de débouchage et de remise en peinture, sans aucune déduction.
Exemple 2: même situation mais 8 ans d’occupation. Dans ce cas, le locataire supporte les frais de débouchage des trous, éventuellement un masquage des taches contratées mais la peinture est amortie et son remplacement est à charge du propriétaire.
Pour ce qui est des autres murs de la même pièce, sauf cas particulier, on ne fait rien. Leur état est normal ou pas ! Et un peintre professionnel doit être capable de repeindre un mur sans que le contraste avec le mur voisin ne se voit trop.
Si le propriétaire n’a pas ou plus la référence de la peinture d’origine, ce n’est certainement pas la faute du locataire, donc, rien à lui compter !