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La Commission de protection de la vie privée a répondu à cette question. L'adresse mail et le numéro de téléphone sont des données trop privée que pour être transmises à la légère, et ne font donc pas partie des données que le syndic doit transmettre à première demande. Il ne peut pas les transmettre sans l'accord de la personne.
jelou a écrit :voici les conclusions de mon avocat
Curieux de prendre connaissance du jugement à intervenir…
Moi aussi.
J'ai du mal à comprendre comment le juge a pu vous enguirlander, alors que vous avez un avocat.
Dans un cas similaire, le juge que je connais aurait demandé à quelle date cela a été reloué, et aurait limité le préavis à la période non louée.
Quant à l'indemnité de relocation, dans le cas d'une rupture fautive où le bail prévoit 3 mois d'indemnité, il la réduit également à deux mois.
A mon avis, vous ne risquer pas de devoir payer les 6 mois d'indemnité réclamés.
Par contre, il n'y a aucune chance que le juge vous octroie 5 mois de préavis et indemnité... Si vous en avez 3, vous serez gagnant.
Date de naissance pour être sur d'identifier la bonne personne (via le numéro national)
Et date du décès si vous n'avez pas la date de naissance, mais ils auront plus de mal à retrouver le décidé.
(Pures suppositions, je vous le concède...
)
L'ACP.
Mais vous pouvez aussi porter plainte à la police. Ils n'ont pas le droit de refuser de prendre une plainte. Muni de cette plainte, vous pouvez vous porter partie civile, afin d'obliger le procureur à lancer une procédure.
Bon amusement.
J'ai eu à faire nommer des curateurs à succession vacante. C'est une requête unilatérale à faire signer par un avocat, décision du juge très rapide, accord du curateur pour faire vider l'appartement et débloquer la garantie à mon profit pour combler le trou. Mon but était de libérer la garantie locative...
Dans votre cas, je tenterais un dernier sms du style "Bonjour, Comme vous le savez, votre père est décédé. Je vous présente mes condoléances. Je sais que vous n'aviez plus de contacts avec votre père, et qu'il avait des dettes. Pourriez-vous me rendre un simple service de me confirmer que vous aller refuser la succession? Merci"
Après quoi, je vide le tout et je reloue.
C'est ce que j'ai fait à plus d'un reprise, et je n'ai jamais eu de retour de l'état qui me réclamait quoi que ce soit.
Merci pour vos réponses. Il semble que le problème ne se pose plus, le syndic va répondre "positivement" à la requête en convoquant une AGE dans les prochains jours, et dans le délai.
Fondamentalement, cela ne changera pas grand chose au résultat: il va être viré, et on pourra voter ce qui doit être voté.
La réponse est intéressante Mais, d'une part, je ne pense pas que tout cela s'applique aux syndics nommés par le juge. Je ne pense pas qu'ils aient à "remettre un rapport", avec une mission fixée qui se termine à un moment donné.
D'autre part, vous répondez à un déterreur professionnel d'un sujet qui date de 2017...
Pour un recommandé envoyé le samedi 14 décembre, à quelle date peut-on envoyer notre convocation? Comme compte-t-on les "30 jours à partir de la réception"?
Peut-on considérer une réception au lundi 16 décembre?
30 jours, c'est 30 jours entre réception et envoi, ou bien le 30e jour après réception? Compte-t-on le jour de la réception? Bref, pour une réception au 16 décembre, les 30 jours nous mènent au 15, 16 ou 17 décembre?
Prévenir la famille du décès avant les funérailles ?
Lire le fil avant de poster?
Aujourd'hui, j'annonce un accord devant le juge de paix. Il m'a été suggéré de sortir, de rédiger l'accord, et de venir le présenter. C'est la 2e fois que cela arrive....
Dorénavant, dans les cas où un accord est possible et probable, je préparerai un tel accord par écrit. Cela nous fera gagner du temps, et m'évitera de présenter en document écrit en patte de mouche...
Savez-vous ce qu'est une "requête ampliative"? Moi pas. J'ai entendu ce terme pour la première fois en justice de paix... Je vais creuser, et je viendrai vous dire ce que j'ai trouvé...
Dans mes immeubles, à Charleroi, il y a des détecteurs individuels non connectés dans les logements, et une centrale incendie avec des détecteurs nombreux et variés dans les communs, avec des alarmes tous les deux étages, comme imposé par les pompiers.
La règlementation en la matière, en Wallonie en tout cas, est communale. C'est sur base du règlement communal que les pompiers ont pu imposer que je mette des centrales incendies.
Les communes ne sont pas toujours d'accord d'appliquer la loi. Muni des liens fournis par GT, vous voilà armé...
Vous pourrez obtenir le certificat de décès à la commune ou aux pompes funèbres.
En parcourant youtube, je suis tombé sur quelques youtubeurs et publication youtube qui m'ont intéressé, et qui auraient pu m'intéresser au début de mes investissements. Certains que j'aurais aimé avoir entendu il y a longtemps.
Le premier est la chaine Youtube de Gregory Hanocq. Après avoir commencé à investir jusqu'à une centaine de biens en pas longtemps, il a lancé une activité de coaching immobilier. Il a grossi depuis, et a arrêté ce coaching depuis environ deux ans. Le début de son histoire reste inspirante, même si il s'est diversifié depuis et est moins disert sur sa situation actuelle. L'avantage est que son histoire est belgo-belge.
Le second est publié sur la chaine Finary, avec Julien Calamote. Finary est une chaine Youtube francophone, orientée France, essentiellement pour les finances. Pas tellement pour l'immobilier. Mais ici, c'est de l'immobilier, et je trouve que l'interview est vraiment pas mal.
Il y en a des dizaines d'autres. Qui expliquent avec plus ou moins de qualité le principe de l'investissement immobilier.
Pourquoi je poste ceci aujourd'hui? Parce que j'ai toujours pensé que l'immobilier avait un côté magique, et que c'était le seul cas qui faisait mentir la maxime "Si c'est trop beau pour être vrai, c'est que ce n'est pas vrai".
Par contre, c'est un secteur plein de mythes, de on-m'a-dit-que, de t'es-fou-c'est-impossible, de yaka ceci ou cela. C'est un secteur avec des montants qui représentent vite quelques années de salaire, et où les erreurs se paient cher et longtemps. Et surtout, c'est un secteur qui ne s'expose pas tellement. Il n'y a pas tellement d'influenceurs qui expliquent leur parcours immobilier.
Or, pour se sentir en confiance, et se lancer dans l'aventure, c'est plus facile quand on connait quelqu'un qui l'a fait. Quelqu'un qui explique comme c'est "simple". Et surtout qui démontre que c'est possible pour Monsieur Tout-le-Monde.
Quand j'ai commencé, je n'avais pas tellement de "modèles" autour de moi, et je suis un peu tombé dedans par hasard. Un collègue sympa m'a dit comment il avait quelques kots à Liège (faudra que je pense à lui envoyer un mail de remerciement un de ces 4) mais c'est à peu près tout.
Et vous, quel a été votre "modèle", votre inspiration, votre chemin pour vous retrouver dans l'aventure de l'investissement immobilier?
Au vu de la photo, je ne vous cache pas que ma première inquiétude se porte sur la stabilité de l'immeuble.
Si c'est un immeuble construit sur une ossature en béton armé, il aura foré dans une des colonnes et un des linteaux. Et il aura déforcé la structure de l'immeuble.
Je veux savoir qui sont les professionnels de cette GABEGIE qui va encore enrichir les avocats alors que l'on paie justement un syndic pour éviter ce genre de blagues techniques
Non ça ne va pas coûter cher au COPROPRIETAIRE du rez de chaussée....
En copropriété tout est permis,
On est "au-dessus de toutes les lois" depuis que l'on est une personne morale genre coquille vide.
Il est évident que le SYNDIC (IPI) a sa part de responsabilité : il vient voir ce bâtiment de temps en temps une fois par mois
ou jamais ?
Et hop, encore une fois, vous vous trompez de cible.
Le syndic est essentiellement là pour appliquer les décisions de l'assemblée générale.
Pour le reste, ses responsabilités de base:
§ 5. Quels que soient les pouvoirs qui lui sont conférés par le règlement d'ordre intérieur, le syndic est chargé:
1° d'exécuter et de faire exécuter les décisions prises par l'assemblée générale;
2° d'accomplir tous actes conservatoires et tous actes d'administration provisoire;
3° d'administrer les fonds de l'association des copropriétaires conformément à l'article 3.86, § 3;
4° de représenter l'association des copropriétaires, tant en justice que dans la gestion des affaires communes. Sous réserve de dispositions contraires dans le présent sous-titre, la correspondance recommandée est, à peine de nullité, adressée au domicile, ou à défaut, à la résidence ou au siège social du syndic et au siège de l'association des copropriétaires;
5° de fournir le relevé des dettes visées à l'article 3.94, § 2, dans les trente jours de la demande qui lui en est faite par le notaire;
6° de communiquer à toute personne occupant l'immeuble en vertu d'un droit personnel ou réel mais ne disposant pas du droit de vote à l'assemblée générale, la date des assemblées afin de lui permettre de formuler par écrit ses demandes ou observations relatives aux parties communes qui seront à ce titre communiquées à l'assemblée. La communication se fait par affichage, à un endroit bien visible, dans les parties communes de l'immeuble;
7° de transmettre, si son mandat a pris fin de quelque manière que ce soit, dans un délai de trente jours suivant la fin de son mandat, l'ensemble du dossier de la gestion de l'immeuble à son successeur ou, en l'absence de ce dernier, au président de la dernière assemblée générale, y compris la comptabilité et les actifs dont il avait la gestion, tout sinistre, un historique du compte sur lequel les sinistres ont été réglés, ainsi que les documents prouvant l'affectation qui a été donnée à toute somme qui ne se retrouve pas sur les comptes financiers de la copropriété;
8° de souscrire une assurance responsabilité couvrant l'exercice de sa mission et de fournir la preuve de cette assurance; en cas de mandat gratuit, cette assurance est souscrite aux frais de l'association des copropriétaires;
9° de permettre aux copropriétaires d'avoir accès à tous les documents ou informations à caractère non privé relatifs à la copropriété, de toutes les manières définies dans le règlement d'ordre intérieur ou par l'assemblée générale;
10° de conserver, le cas échéant, le dossier d'intervention ultérieure de la façon fixée par le Roi;
11° de présenter, pour la mise en concurrence visée à l'article 3.88, § 1er, 1°, c), une pluralité de devis établis sur la base d'un cahier des charges préalablement élaboré;
12° de soumettre à l'assemblée générale ordinaire un rapport d'évaluation des contrats de fournitures régulières;
13° de solliciter l'autorisation préalable de l'assemblée générale pour tout contrat entre l'association des copropriétaires et le syndic, ses préposés, ses proches, parents ou alliés jusqu'au troisième degré inclus, ou ceux de son conjoint jusqu'au même degré; il en est de même des contrats entre l'association des copropriétaires et une entreprise dont les personnes susvisées sont propriétaires ou dans le capital de laquelle elles détiennent une participation ou dans laquelle elles exercent des fonctions de direction ou de contrôle, ou dont elles sont salariées ou préposées; lorsqu'il est une personne morale, le syndic ne peut, sans y avoir été spécialement autorisé par une décision de l'assemblée générale, contracter pour le compte de l'association des copropriétaires avec une entreprise qui détient, directement ou indirectement, une participation dans son capital;
14° de tenir à jour la liste et les coordonnées des personnes en droit de participer aux délibérations de l'assemblée générale et de transmettre aux copropriétaires, à première demande et au notaire s'il en fait la demande au syndic, dans le cadre de la transcription d'actes qui sont transcrits dans les registres du bureau compétent de l'Administration générale de la Documentation patrimoniale conformément à l'article 3.30, les noms, adresses, quotes-parts et références des lots des autres copropriétaires;
15° de tenir les comptes de l'association des copropriétaires de manière claire, précise et détaillée suivant le plan comptable minimum normalisé à établir par le Roi. Toute copropriété de moins de vingt lots à l'exclusion des caves, des garages et parkings est autorisée à tenir une comptabilité simplifiée reflétant au minimum les recettes et les dépenses, la situation de trésorerie ainsi que les mouvements des disponibilités en espèces et en compte, le montant du fonds de roulement et du fonds de réserve visés à l'article 3.86, § 3, alinéas 2 et 3, les créances et les dettes des copropriétaires;
16° de préparer le budget prévisionnel pour faire face aux dépenses courantes de maintenance, de fonctionnement et d'administration des parties communes et équipements communs de l'immeuble, ainsi qu'un budget prévisionnel pour les frais extraordinaires prévisibles; ces budgets prévisionnels sont soumis, chaque année, au vote de l'association des copropriétaires; ils sont joints à l'ordre du jour de l'assemblée générale appelée à voter sur ces budgets. Le cas échéant, le syndic inscrit à l'ordre du jour de l'assemblée générale la question des travaux extraordinaires à prévoir pour les années à venir.
Vous y voyez un truc du style " imposer aux copropriétaires de respecter les lois et de ne pas empiéter sur la copropriété?" Moi pas.
Je dirais même plus, au niveau technique, à peu près rien en lui est imposé.(ce qui est idiot, je vous le concède - sans doute que les parlementaires habitent dans des villa, et pas des apparts en copropriété - et sans doute que la technique leur passe un peu au dessus de la tête)
Alors, arrêter de remettre systématiquement toutes les responsabilités sur le syndic, c'est inutile et contre productif.
Sujet de 2018. Vous n'avez rien trouvé de plus vieux?
Et mal installé puisque cela coule sur la façade...