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Ben, il suffit de lire... Billionhome se positionne comme un site d'archivage, pas comme un agent immobilier. Les informations permettent des statistiques sur les échanges, des tendances de marché etc. Que votre maison soit encore en vente ou pas n'importe pas ici. Ce qui importe est qu'elle fut annoncée, à un moment donné, à un prix qui aiderait des acheteurs recherchant des références.
Ce que je trouve gênant, c'est qu'aucun contact n'est disponible sur leur site. Pas d'adresse email, rien. L'enregistrement DNS de billionhomes.be est plus précis:
Nom Tom Coppens
Organisation Blackhorse Internet SL
Langue Anglais
avda Condes San Isidro 47
29640 Fuengirola
Malaga
+34.952663677
Email Karl@4allsolutions.be
Leur FAQ est claire (enfin, si on veut):
Puis-je supprimer mon logement de la liste Billionhomes?
Toutes information affichées sur notre site sont des données publiques. Elles proviennent d'archives publiques. En d'autres termes, Billionhomes est une base de données publique qui utilise des données publiques pour afficher des logements qui apparaissent dans notre moteur de recherche. En ayant accès aux données relatives aux logements appartenant d'autres personnes, vous aurez la possibilité d'en savoir d'avantage sur votre propre bien immobilier et sur son potentiel.
L'ensemble de ces informations rend les choses d'avantage équitables et mène à un marché immobilier plus efficace dans votre région. C'est l'une des raisons pour lesquelles la plupart des institutions publiques rendent les informations immobilières publiques. Billionhomes met l'ensemble de ces données immobilières à la disposition de tous dans la transparence utilisant son moteur de recherche.
Bonjour,
Mes frère, soeur et moi-même avons hérité il y a un an de la part de notre mère dans un immeuble de rapport, ancien mais de grande surface (comprendre "peu liquide sur le marché"). Celui-ci est propriété de notre famille depuis plus de 50 ans et le nombre d'indivis a grandi au fil des successions. Toujours est-il que, quand nous avons dû mentionner la valeur de cette succession, nous avons mis un montant qui paraissait "correct" (comprendre "particulièrement faible") sans véritablement faire appel à un expert. Nous avons pris des "renseignements" auprès d'agences et les montants étaient tellement disparates que, en bons belges bien imposés, nous avons pris le plus faible.
Depuis, l'indivision risque d'éclater et certains ont mandaté un expert, lequel annonce d'emblée un montant 3 à 4 fois supérieur à ce que nous avons déclaré. Cette évaluation sera étayée et largement supérieure à notre plus haute estimation. Il est possible que, la situation étant complexe, un juge ait à se prononcer. Il est également possible que ce juge dispose des montants déclarés il y a un an pour statuer.
Dans la mesure où les montants déclarés le furent de bonne foi mais soient probablement (très) erronés:
- un juge écartera-t-il d'emblée les montants déclarés au profit de l'avis d'un professionnel ayant pignon sur rue?
- sera-t-il tenté de punir - en sortant de son rôle - les héritiers et/ou les autres copropriétaires car l'erreur était manifeste?
- le ministère des finances peut-il se rappeler au bon souvenir des déclarants en revoyant la succession à la hausse, et pendant combien de temps?
Merci d'avance.
Bonjour,
Il existe des avocats spécialisés en droit de l'immobilier et en droit administratif. Leurs services sont souvent coûteux. Le mieux serait d'en consulter 2 ou 3 (la première consultation est toujours gratuite), avec les pièces dont vous disposez et de choisir celui avec qui le courant passe le mieux.
Parce qu'il vous faudra de la patience et des arguments... Si n'importe qui pouvait transformer en champ de patates en lotissement (et multiplier le prix du terrain par 10...) cela se saurait. En outre, si vous êtes en RW, l'administration est particulièrement rigide.
Enfin, à la place de vos enfants, je n'investirais pas de sommes folles si le statut de leur habitution est peu clair, à moins de vouloir être le nouveau Sagawé (en clair, les habitations illégales sont détruites par l'administration et donc quasi invendables).
Vous trouverez un avocat spécialisé dans votre région ici: Recherche avocat
J'avais émis des doutes sur la bonne foi de la proprio dans mon post précédent. Je reste sur ma conviction qu'elle vous balade avec les 25% d'usufruit d'un héritier inconnu car en attendant elle continue à toucher les loyers.
L'escalade avec Charlie069 est improductive. Merci à Charlie069 de revenir sur l'historique du post avant de faire le procès d'un locataire qui s'informe. En tant que proprio, vous n'avez répondu à aucune question (légitime) qu'elle posait. J'ai été locataire, je suis proprio, ce n'est pas avec des procès d'intention qu'on fait avancer le débat.
Enfin, il serait bon que le modérateur bloque ce thread avant que mes emails n'explosent. Car ce fil reflète bien la situation de ju15481: tourner autour du pot sans jamais agir. Autrement dit: mettez votre proprio au pied du mur (électricité, détecteurs, garantie et informez son assurance des manquements au passage...) et assignez-la si elle vous empêche de partir OU restez six mois de plus. Vous avez assez de cartes dans votre jeu pour défendre votre position. Mieux vaut un mauvais accord qu'un bon procès.
J'ai du mal à comprendre comment le syndic peut accepter ce genre de procédé. Le PV est en effet lu publiquement avant la signature. Pendant la lecture, chacun peut intervenir. Après la signature, cela devient un faux en écriture et c'est passible de poursuites pénales. Si le syndic est faible, naïf ou mal informé, c'est un mauvais syndic. Je pense que le coproprio qui pousse à ce genre de petits arrangements serait "poursuivible" aussi.
Bonjour,
Il y a beaucoup de paramètres dans votre dossier mais il me paraît assez simple d'y mettre un peu de structure.
1. Normalement, l'épouse du proprio devrait être votre seule interlocutrice. Elle est en effet proprio de 50% et aussi usufruitière des 50 autres %. Les enfants sont nu-propriétaires seulement. Donc, la proprio a le pouvoir de rompre le bail seule. Elle peut facilement le vérifier auprès de son notaire mais ne veut peut-être pas le faire, par ignorance, par paresse ou... par intérêt.
2. Je doute fort que l'électricité soit conforme. Or, après les travaux, elle devrait avoir été certifiée par un organisme agréé. Ca, c'est le problème du proprio (elle touchera nada des assurances en cas d'incendie). Cela pourrait être une façon pour vous de mettre la pression.
3. La banque ne peut aucunement réclamer le paiement des loyers, sauf si elle dispose d'un jugement en sa faveur, ce qui ne semble pas être le cas. A votre place, je ne répondrais même pas à aucun de leur courrier: vous n'avez aucun contrat avec eux, seulement avec le proprio et ses héritiers légaux.
4. Si cela ne peut se résoudre rapidement, le plus simple et le moins coûteux sera d'attendre août. Vous y serez vite.
Bon courage.
Article intéressant à propos de nos voisins hollandais
Krach immobilier néerlandais à l’américaine
Charlotte Mikolajczak et Patrick Van Campenhout
Signe imparable de cette crise : l’inactivité sur le marché. Depuis 2009,le nombre de transactions a reculé de 30 à 35 %.
Quand on parle de grave crise immobilière en Europe, on pense d’emblée à des pays comme l’Espagne ou l’Irlande. Les Pays-Bas sont très rarement cités, hormis peut-être par les professionnels de la finance et de la brique.
Et pourtant… Ce pays qu’on associe aisément à la Belgique présente un marché résidentiel bien différent. Rien n’est vraiment pareil. Ni le volume de constructions : les développeurs y ont produit beaucoup trop de logements durant les années d’avant krach. Ni les taxes : les frais d’une vente sont faibles (2 à 3 %), incitant les Néerlandais à revendre et racheter plus souvent (tous les 11 ans en moyenne, contre 18 ans en Belgique). Ni, surtout, le type de financement.
Depuis le pic de fin 2008, les prix se sont effondrés de plus de 15 %. Et c’est la banque centrale européenne qui le dit. Sur les 16 trimestres qui séparent ce pic du creux actuel, 14 sont en recul ! Pire ? Cette crise ne fait que commencer : le gros de la régression (-8 %) se situe en effet entre le 3e trimestre 2011 et le 3e trimestre 2012 ! Dans l’esprit des agents immobiliers, qui s’abîment dans l’inactivité, ce recul prend des proportions catastrophiques. Au point qu’ils évoquent, eux, une chute des prix de 20 % pour cette seule année !
Autre signe imparable de cette crise : l’inactivité sur le marché. Une platitude qui a débuté dès 2009, avec un recul de 30 à 35 % du nombre de transactions, selon le réseau d’agences Era. Et ce, alors qu’en Belgique le volume de transactions ne chutait que de 7 %.
En 2011, 118000 habitations seulement ont été vendues aux Pays-Bas. “C’est moins qu’en Belgique”, relève Era dans son rapport annuel 2012. “Malgré une économie relativement forte, le marché s’est presque arrêté dans de nombreuses régions.” “En 2009, il y eut encore 203000 ventes aux Pays-Bas, confirme Mathieu Verwilghen, general manager du réseau Century 21 Benelux.
Mais quelque 110000 seulement en 2011 et 95000 cette année. Les Néerlandais ne cherchent plus à acheter, mais à louer. Plus de 700000 familles sont dans ce cas. C’est 43 % de plus que l’an dernier ! Les loyers sont dès lors à la hausse : de 13 % sur deux ans.” Tout en étant plus faibles qu’en Belgique, flirtant avec les 700 euros par mois en moyenne.
Si les Néerlandais ont déserté le marché acquisitif, ce n’est pas tant parce qu’ils s’inquiètent de leur avenir professionnel et financier que parce que l’investissement immobilier est fiscalement moins attractif que par le passé et, surtout, que les banques ne financent plus la brique.
Un marché immobilier mal encadré
Où l’on mesure, comme le relevait Robert de Mûelenaere, administrateur délégué de la Confédération Construction, l’impact de mesures publiques tantôt d’incitation, tantôt de frein. Et, dans le cas des Pays-Bas, les défauts des systèmes d’encadrement du marché immobilier. “La crise immobilière qui y sévit est précisément liée au système de remboursement des prêts hypothécaires : chez nos voisins, on rembourse des intérêts et rien que des intérêts pendant 20 ans puis on rembourse le capital emprunté… Or, avec le coup de déprime du marché immobilier, il y a là un problème.”
Plus qu’un problème : le chaos, selon Julien Manceaux, économique auprès d’ING. “Les Néerlandais pratiquent ce qu’on appelle le ‘crédit boulet’: remboursement des intérêts pendant la durée du prêt et, en parallèle, placement du capital dans un fonds. En fin de période, celui-ci est censé avoir rapporté suffisamment pour rembourser le capital.
Un système qui fonctionne bien quand les marchés sont solides, mais quand les fonds… se cassent la figure, c’est tout le marché qui en pâtit. Avec une augmentation des ventes forcées à la clé et un recul net du nombre de demandes.” “La valeur des hypothèques est beaucoup plus élevée aujourd’hui que la valeur des biens”, précise Mathieu Verwilghen.
Cette situation est également due en grande partie au changement de régime de déductibilité des intérêts en 2010, qui a écorné le pouvoir d’achat. Changement dont il fut question déjà en 2009. “Dès le moment où le gouvernement a parlé de diminuer l’avantage – et aux Pays-Bas, il est vraiment important, représentant bien plus que les 3 à 4 mois de mensualités dont les Belges bénéficient –, le marché s’est resserré, poursuit Julien Manceaux. Et il annonce pour l’an prochain une nouvelle diminution, jusqu’à 50 % des avantages.”
La contraction des valeurs, qui a pris de l’ampleur cette année, risque donc de s’amplifier encore. “Avec ceci que les Néerlandais avaient pour habitude d’emprunter jusqu’à 125 % de la valeur du bien…, ajoute l’expert.
Quand vous basez votre remboursement sur la performance d’un fonds, vous êtes moins regardants sur le montant emprunté.” “Une situation à l’américaine, conclut Mathieu Verwilghen. Sauf qu’à l’inverse des Américains, les Néerlandais ont mis du temps pour se rendre à l’évidence et accepter que leur marché ne fonctionnait plus. Ce n’est que maintenant que les vendeurs diminuent leurs prétentions.”
Il faudrait voir quelle définition la jurisprudence donne de "lieu public". Pour moi, un "lieu public" est un endroit où n'importe qui peut entrer sans avoir à décliner son identité, et un endroit où de nombreuses personnes se retrouvent temporairement: un supermarché, un cinéma, un hopital, une piscine communale, un stade sportif etc.
Je ne suis ni juge ni avocat, mais je crois qu'un commun d'immeuble n'est pas un "lieu public". Le hall est le plus souvent fermé, il faut s'annoncer au rez, et il est la propriété de la copropriété. Je crois donc que les policiers auraient dû attendre dehors que ce monsieur sorte avant de lui demander ses papiers. Au reste, pour ce qui en a été dit, leur attitude heurte le sens commun.
Quelle que soit l'offre que vous faites, n'oubliez pas de la limiter dans le temps (valable jusque le ... novembre à 18 heures). Avec ces comiques, vous n'entendrez rien pendant un mois puis ils reviendront vers vous en vous disant que, tout compte fait, c'est accepté... Et vous vous retrouvez avec deux maisons si vous avez été reçu autrement ailleurs.
Je me suis égaré. Revenons au sujet...
Si je comprends bien, interdire un animal de compagnie dans un bail, c'est une clause abusive. Oui mais... quid si l'acte de base l'interdit? Est-ce également une clause abusive?
[edit modérateur: message supprimé car complètement hors sujet]
Si vous avez payé vous-même vos charges régulièrement, et si vous avez un syndic compétent (comprendre: qui doit agir dans l'intérêt de la copropriété), cela devrait aller... Mais à vous lire entre les lignes, je soupçonne que le promoteur soit aussi syndic de la copropriété, ce qui est une confusion des genres dangereuse. Auquel cas, à votre place, je demanderais d'urgence la nomination d'un syndic indépendant par le juge de paix. Ce sera son rôle de recouvrir les impayés en poursuivant les copropriétaires défaillants, au besoin en procédant à des saisies et, au pire, à des ventes forcées.
Mon souci est je risque d'être pris pour un monstre d'avoir mis les enfants de ma famille dehors. Le locataire le sait...
Et vous acceptez de baisser les bras devant quelqu'un qui vous manipule? Vous êtes clairement dans une situation profondément malsaine (je me demande ce qui vous a poussé à louer à un parent "pour rendre service") et vous vous sentez coupable (au reste, de quoi? d'encaisser des loyers envers qqun qui ne respecte pas ses engagements?).
A votre place: 1. je n'aurais jamais loué à un membre de ma famille (mais tout le monde le sait, et tout le monde continue à le faire) 2. j'aurais adressé une mise en demeure bien factuelle 3. sans réponse, j'aurais été voir le juge depuis longtemps.
C'est dommage pour les gosses, mais vous n'êtes pas leur parent et tant pis si leurs parents à eux sont irresponsables.
vu que j'ai refusé il m'a dit qu'il comptait me faire attendre encore quelques mois avant l'acte et je n'ai pas du tout les moyens de payer 50.000euro de frais d'enregistrement à sa place et par sa faute...
Gardez bien la trace de tous vos échanges et laissez votre propre notaire travailler. Si amende il y a, elle devra être payée par le fautif, bien évidemment, qui lui non plus n'a peut-être pas les 50,000 euros devant lui pour le moment. L'extrait que je pointe ressemble à un rapport de forces ou à un petit chantage. Cela étant, si je comprends bien, l'acheteur s'est quand même engagé sur 450/500,000 euros: ce n'est pas une petite somme et il devra respecter ses engagements.
Normalement, c'est le syndic qui doit gérer la situation.
Sinon, vous pouvez simplement alerter le service hygiène-environnement de votre commune qui prendra contact avec les plaignants. Je crois qu'ils ont le droit de verbaliser et/ou de se faire assister de la police si l'auteur des nuisances ne veut rien entendre.
Si le problème vient des communs, alors c'est à la copropriété d'agir.
Le notaire des vendeurs me semble un peu gourmand... Il est possible qu'il considère faire le travail d'une agence immobilière et veut se rémunérer de la sorte. Mais le plus souvent l'agence est rémunérée par... le vendeur.
Autre chose: cette "promesse d'achat" ressemble à s'y méprendre à un "compromis de vente" et je ne comprends pas quelle différence fait ce notaire entre les deux. Habituellement, un notaire n'est pas rémunéré pour un compromis !
Bref, trouvez-vous votre propre notaire vite fait bien fait !
D'une part, avant d'accepter votre demande de prêt, la banque peut vous obliger à souscrire une assurance vie-décès. Elle NE PEUT PAS vous obliger à choisir une compagnie précise (la sienne...) mais peut exiger que vous soyez couvert. Cela diminue son risque si vous ne pouvez pas rembourser. Pas d'assurance, pas de prêt: cela dépend surtout des montants empruntés et de votre capacité à rembourser etc.
D'autre part, la compagnie d'assurance PEUT vous obliger à passer des tests médicaux. Ici aussi, cela dépend du niveau de risque - différent cette fois - pour l'assurance: avoir un cancer, être fumeur, être vieux, c'est différent qu'être jeune, sportif et non-fumeur... L'assurance est aussi libre d'inclure dans ses tests une prise de sang ou un test HIV et de refuser la couverture si vous êtes diabétique ou avez eu une leucémie il y a 5 ans.
Si ces dispositions ne vous conviennent pas, vous pouvez chercher une banque qui ne demande pas d'assurance pour votre profil (s'il y en a). Et si vous n'en trouvez pas, vous pouvez chercher une assurance sans devoir passer de visite médicale. Mais dans ce dernier cas, comme vous avez souvent un questionnaire à remplir, en fonction de vos réponses, ils regardent si des examens complémentaires (et une visite) sont nécessaires avant d'accepter de couvrir votre risque.
Au fait... dans notre acte de base, l'aspect des portes palières est précisé. J'ai respecté ce point quand j'ai fait installer une nouvelle porte. Mais je remarque que 3 voisins n'ont pas respecté ce point (placage blanc au lieu du bois vernissé obligatoire). Je n'ai jamais voulu monter cette histoire en épingle car cela me semble un point mineur (même si je trouve que ces portes sont moches car elles gachent l'uniformité des paliers).
N'est-ce pas au syndic de faire respecter ce point? Et quelles mesures peut-il prendre?
C'est un comique votre syndic.
Et que dit votre acte de base au sujet des indemnités en cas de retard de paiement ? Vous avez un acte de base qui date des année 50 ?
Notre acte de base date de 1960+ et n'est pas encore mis en conformité (c'est en cours). Entre-temps, il est prévu 12% de pénalité sur les sommes dues et c'est appliqué par le syndic. Mais si vous avez un copropriétaire qui ne paie pas les sommes dues, pourquoi paierait-il en sus les indemnités?
L'essence de ma question concerne la façon d'agir la plus saine pour préserver les droits de la copropriété. Car si j'étais juge, je demanderais pourquoi le syndic a laissé pourrir la situation du débiteur en n'agissant pas pendant deux ans.
En AG, j'avais proposé de ne pas donner décharge au syndic et de ne pas approuver les comptes tant qu'il ne faisait rien pour recouvrer les impayés. Mais il semble que ne pas approuver les comptes et/ou ne pas décharger le syndic ne serait pas la meilleure solution...